Indiens & Envahisseurs. On voudrait nous faire croire qu'il y avait des terroristes en Irak avant l'invasion US. Un joli conte de fêlés.
On voudrait donc nous faire croire qu’il y avait des terroristes en Irak avant l’invasion US. Un joli conte de fêlés… Au moins la morale est sauve, ce très honorable tueur en série, qui d’après ses dires, n’a pas assez exécuté de “sauvages” en opération, l’a été (exécuté) par un des siens dans son propre pays. Oui, la guerre élève des monstres, et pas qu’un peu ; si tu te vantes et te donne un peu trop le beau rôle sans respecter cette règle qu’aucune guerre au monde n’a jamais contesté : y a un retour de bâton. On ne va pas dire que c’est bien fait pour sa gueule, mais pour tous les types qu’il a butés pendant sa carrière, et globalement pour tout ce que les types comme lui représentent comme gros fouteurs de merde dans le monde, eh ben c’est pas volé.
La nuance apportée en cours de route par Clint pour justifier la mise en scène de l’hagiographie d’un criminel en série est risible. Le bonhomme dézingue des “sauvages” et participe à une guerre illégale, lui et les siens se plaignent du chaos et des terroristes qu’ils ont eux-mêmes aidé à s’implanter dans un pays, le type a de vagues remords pour sa première partie de chasse où il dégomme un enfant et sa mère qui, ouf quand même, s’apprêtaient à jeter un obus sur les gentils envahisseurs, mais, mais… la vie d’un héros qui rentre à la maison ce n’est pas si facile ! La solitude du tueur en série…
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