Smiled in time
La grande force du cinéma de James Gray s’est toujours trouvée dans l’intime : ses personnages, en prise avec le destin, les choix ou leurs quêtes, tentent de panser les plaies de l’existence, et de...
le 9 nov. 2022
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La grande force du cinéma de James Gray s’est toujours trouvée dans l’intime : ses personnages, en prise avec le destin, les choix ou leurs quêtes, tentent de panser les plaies de l’existence, et de...
le 9 nov. 2022
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Cela fait deux films que j’ai lâché le cinéma de James Gray (donc je n’ai pas encore regardé The Lost City of Z et Ad Astra ; je compte me rattraper un jour, bien sûr !). Ce qui fait que je n’ai vu...
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le 9 nov. 2022
73 j'aime
17
La forme mise au service du fond, d’un tréfonds caché : le générique d’Armageddon Time nous renvoie vers la surface lisse d’une image idyllique, celle de l’Amérique d’hier que sacralise la mélodie...
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le 11 nov. 2022
61 j'aime
7
Le casting nous faisait tourner la tête comme une étoile filante qui transpercerait le ciel, mais Armageddon Time, s'il ne s'écrase pas complètement, est pour notre part une déception pour un...
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le 5 nov. 2022
27 j'aime
Je ne savais pas de quoi parlait Armageddon Time avant de le voir, je dirais même que je ne voulais rien savoir sur le film avant de m'y aventurer. C'est simple, moi je vois le nom de James Gray sur...
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le 12 nov. 2022
26 j'aime
8
"Armageddon time" démarre. Puis ça démarre, ça démarre, ça démarre, ça... ne démarre pas ? On passe le film à attendre un événement qui ne vient pas, quoi que ce soit qui secoue un peu la triste...
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le 10 nov. 2022
13 j'aime
2
Chronique familiale de 2 mois dans le Queens natal de son réalisateur, "Armageddon Time" se déploie à deux échelles : la menace imminente d'une fin du monde causée par l'homme et sa bêtise au début...
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le 19 mai 2022
12 j'aime
Si l'année cinéma 2022 a été initiée et refermée par un film de Guillermo Del Toro, elle a aussi été débutée et clôturée par deux coups d'oeil dans le rétro. Deux coups d'oeil différents sur la...
le 20 janv. 2023
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2
Alors que je m’emmerdais ferme, je me suis soudain rappelé que j’avais affaire à un film « personnel », autobiographique qui plus est. J’ai pourtant strictement rien vu de singulier là-dedans. Comme...
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le 13 nov. 2022
7 j'aime
4
Critique publiée sur https://www.hop-blog.fr/Le cinéma de James Gray est de plus en plus déceptif pour moi. Il y avait là pourtant un sujet en or pour le réalisateur de The Lost City of Z Ad Astra ...
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le 9 nov. 2022
6 j'aime
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