James bond version low-cost, qui a le goût des coproductions européennes (France, Italie, Allemagne) des années 60, donc qui n'a aucun goût. Honnêtement, je m'attendais à pire, mais tout cela est très mou et manque d'humour, de surprise, de classe... Le Japon est bien mis en valeur, surtout pour un public occidental friand des conférences Découvertes du monde..
Je l'avoue, j'ai regardé cet Oss 117 uniquement pour Marina Vlady, bien peu concernée par le film - c'est une femme très lucide et très intelligente - mais à la beauté absolument renversante.
le petit point cancel culture
Ces clichés sur le Japon… Moins vingt points néocolonialisme, même si le Japon n’a jamais été colonisé, vous avez compris l’esprit (regard insupportable du blanc sur autrui).