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Loin des sommets atteints à la MGM, Vincente Minelli avec « Goodbye Charlie », Vincente Minneli livre une œuvre mineure à la Fox. Pas de grandes anvolées, ni de décors somptueux, ni artiste en quête d’un rêve difficile à ransposer, mais une adaptation littéralement théâtrale de la pièce de George Axelrod. En effet, avec Harry Kurnitz, le réalisateur développe un film qui est l’archè type du théâtre filmé. Quelques dialogues pertinents, un abattage exceptionnel de Tony Curtis et Debbie Reynolds, permettent au cinéaste de démontrer une fois de plus son sens du rythme et de la comédie. Mais sur ce dernier plan le film ne parvient pas à se hisser au niveau de “Designing Woman” (La femme modèle) ou Cabin in the Sky (Un petit coin aux cieux). Jouant peu sur la couleur, les costumes et les décors, aussi soignés soient ils, manquent à la fois de flamboyance et d’originalité. Propre sur soi, impeccablement réalisé, “Goobye Charlie” se range parmis le cinéma de technicien. Pas moins, mais pas plus.
Créée
le 13 févr. 2021
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