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Dupontel tient toujours une place particulière pour moi dans le paysage cinématographique français. Outre le fait qu’il soit un acteur qui ose, c’est aussi un cinéaste qui va toujours plus loin et qui n’est pas dupe du jeu des médias.


Je me souviendrais toujours du journaliste qu’il a envoyé bouler car ce dernier se permettait de parler de son film et de le critiquer sans l’avoir vu. En deux questions, Dupontel l’avait démasqué et mouché en direct.


En entendant parler d’Au revoir là-haut ma curiosité a rapidement été touché. Outre le fait que M. Dupontel est aux commandes, le fait que l’intrigue prenne place autour de la Première Guerre Mondiale a aussi joué. Je suis une adepte des films historiques.


Donc direction le cinéma avec ma petite Anne-So pour 2h de récit aussi fou et loufoque que puissant et émouvant.


J’en ai pris plein les yeux. L’une des premières scènes avec un travelling au travers des tranchées m’a mise immédiatement dans l’ambiance. Je suis restée scotchée à l’écran du début à la fin. Tout attire le regard : les décors, les costumes, les couleurs… Les masques portés par le personnage de Péricourt sont incroyable (mon coup de coeur va au premier qu’il se fabrique et une mention spéciale pour celui avec la moustache pivotante).


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EmilieLefort1
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le 3 nov. 2017

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