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Adieu
À vrai dire, je n'avais même pas envie d'écrire sur ce film, qui ne m'intéresse pas outre-mesure. Mais voyant une déferlante de critiques élogieuses, j'ai quand même eu envie d'apporter un...
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le 28 oct. 2017
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si ici tout est création, tout est aussi métaphore, sujet à interprétation, et tout se prête à la cr
2o / 2o.
J’ai tellement attendu ce film (Ma plus grosse attente de l’année ?). J’ai usé, que dis-je, saigné la bande annonce les yeux ronds comme des billes. Et mon récent engouement quant à ce talentueux Nahuel Pérez Biscayart n’a pas arrangé les choses.
Mais plus la sortie approchait, plus j’appréhendais. Entre la malédiction des adaptations quasi toujours pourraves, le succès littéraire, l’énorme emballement critique et le fait que je plaçais probablement la barre trop haut… bonjour l’angoisse.
Ma résolution de ne pas me rendre en salle le premier jour n’a pas fait long feu : Jour J, j’me lève, et je file à la première séance. ZÉRO RIGUEUR.
Mon avis est en intégralité sur Bergamout.
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Créée
le 2 janv. 2018
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