Schlöndorff adaptant Brecht avec Fassbinder en prince-poète défoncé, accompagné de Hanna Schygulla ou Margaretha Von Trotta, tout ça fin 60, en plein mouvement underground allemand, tu te dis que ça sent le super film mais malheureusement, comme souvent chez le pourtant sympathique Schlöndorff, le film est d'un ennui abyssal, un allemand qui filme comme un anglais, c'est un comble. Dommage, parce qu'un tel film entre les mains de Schröter ou de Fassbinder lui-même, ça serait tout autrement réussi.
Créée
le 22 sept. 2018
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