Dès son annonce et, pire encore, lors du lancement de sa campagne marketing, le film Barbie a suscité un vif intérêt sociétal, que ce soit chez les cinéphiles avertis comme chez les néophytes. Le soufflet est un peu retombé maintenant, quelques semaines après sa sortie, les critiques sont dithyrambiques du côté de la presse, les avis sont légion sur SensCritique et ailleurs, tout le monde veut y donner de la voix ou de la plume.

On ne peut alors que se réjouir d’une telle influence, d’un tel impact dans une sphère audiovisuelle sclérosée où tout, ou presque, est oubliable, où les Avengers et autres super-héros ont parachevés l’asphyxie d’une industrie sur le déclin, dégradant un art aux enjeux politiques et poétiques majeurs à l’état de simple divertissement destiné à distraire une masse de moutons décérébrés. Le spectateur est, plus que jamais, devenu consommateur (il n’y a qu’à voir les éloges que l’on peut lire sur « Gran Turismo », c’est à la fois édifiant et effrayant) et il est plaisant de voir quelques matières grises s’agiter pour s’exprimer. Le film intrigue, le film divise, le film passionne, c’est tout l’intérêt d’une telle œuvre et on ne peut que s’en féliciter.

Rejoignant tardivement la foule des crayons et des claviers, je viens à mon tour tenter de porter un regard sur le long-métrage de Greta Gerwig, dans l’espoir de perpétuer le dialogue tout comme pour fixer, à l’instant où j’écris ces pages, les grandes lignes d’une réflexion dont j’ai conscience qu’elle évoluera par la suite.

Barbie est un film particulier qui, dès les premières minutes, dans une scène parodiant l’introduction de « 2001, l’odyssée de l’espace » vient poser une multitude d’enjeux. Alors qu’une narratrice nous explique l’origine ancestrale des poupées et le rôle de mère imposée aux femmes via ledit objet, Barbie, en figure de monolithe mystérieux, libèrent les jeunes filles de l’emprise de leurs jouets, ces dernières venant briser les crânes des poupons sur l’autel glorieux d’une « Margot Barbie » aux allures de pin-up radieuse avant que ne s’affiche sur toute la largeur de l’écran le célèbre logo de la poupée de Mattel.

La messe est dite, Barbie sera un objet cinématographique riche voulant s’imposer comme une œuvre féministe émancipatoire mais dissimulant assez maladroitement une opération de rebranding de Mattel. Un film alors éminemment politique qui aurait donné du grain à moudre à Eisenstein tant des messages potentiellement contradictoires fusent et s’entrechoquent durant les deux heures de séance.
Je vais donc suivre le fil conducteur de cette introduction fournie par Mrs Gerwig, divisant le regard porté sur Barbie selon ces trois axes, bien que les frontières soient parfois poreuses entre chaque et que les vases se montrent de temps à autre communicants. Ça va être un peu long, mais promis ça va bien se passer.

Barbie, l’objet filmique : Margot it and Ryan goes lit.

Du côté de l’écriture du film, on retrouve sans surprise le couple Gerwig-Baumbach (à la vie comme à la carrière), plutôt prolifique ces dernières années puisque ayant collaboré sur «Frances Ha », « Mistress America » et « White Noise » avec des rôles alternatifs allant d’autrice/réalisatrice à actrice pour Gerwig et d’auteur à réalisateur pour Baumbach. Les enjeux sociétaux ne sont pas inconnus des deux compères, la question des représentations de la femme et du couple étant souvent au cœur des œuvres respectives de l’une (Lady Bird, les quatre filles du Dr March) comme de l’autre (Marriage Story). Baumbach étant également un habitué de Wes Anderson, il était à parier que le film issu de l’univers de la poupée blonde serait teinté d’une identité visuelle particulière.

Sur ce point, l’emploi des codes propres à Mattel est sans faille. Des fausses vagues aux décors en cartons, des maisons ouvertes aux tenues exubérantes, l’immersion est totale dans cet univers vomissant du pastel aussi généreusement qu’un adolescent subissant sa première descente d’ecstasy.
La transition vers le monde « réel » marque un retour à des tons froids, à des plans plus formels, génériques, dont ne se démarque que le QG de Mattel dans l’architecture étrange de sa tour et de ses « open space » (les cubes fermés intriguent), véritable carrefour entre le monde de Barbie et le nôtre. Tout ne fait pas exactement sens, c’est donc à grand coup de facilités de scénario que Gerwig dégage les problématiques qui nous ferait interroger la crédibilité de ce qui nous est raconté et, en soi, peu importe.

A l’instar de l’imagination des enfants que nous étions, il n’est pas difficile de se laisser porter par cette histoire aussi absurde qu’improbable : Barbie, en véritable Néo de son univers, voyant ses pieds toucher le sol pour la première de sa vie va, sur les conseils de l’Oracle/Morpheus (Kate McKinnon formidable en Barbie Bizarre), quitter son monde parfait pour affronter les sbires de la matrice (le patriarcat) responsable de près comme de loin de ce qui la cloue au sol, elle qui, sans le savoir, ne rêve que de son propre envol.

Les péripéties s’enchaînent très rapidement et on sent que le passage dans le monde réel est anecdotique et n’a pour but que de permettre le point d’intrigue du second acte : Ken veut façonner Barbie Land sur le modèle du patriarcat dont il pense avoir saisi les tenants et aboutissants durant son bref passage par chez nous. Gerwig ne s’attarde alors que peu chez les humains et ne viendra que dans deux très brèves fulgurances Dolanio-Malickienne effleurer les émotions complexes qui peuvent agiter tout à chacun pour se réfugier rapidement dans les modèles plus stéréotypés de personnages que sont les Barbies et les Kens, figures qu’il est à la fois Ô combien faciles à tourner en dérision et bien plus propice à la diffusion de son message, ce que nous verrons plus loin.

Pendant deux heures, le film change de rythme de manière plus ou moins fluide, alliant passages musicaux et chorégraphie millimétrées, discours passionnés et moments de franche comédie. C’est une mélodie aux transitions parfois étranges, au tempo saccadé mais qui ne laisse pas indifférent. On sent le plaisir que l’équipe technique et que les acteurs ont eu à travailler sur le projet et c’est, à mon sens, une des grandes réussites du film.

D’une part, il est indéniable que Margot Robbie étincelle dans le rôle de Barbie, incarnant tout à la fois le stéréotype dont elle se doit d’être la figure de proue et la détermination de celle qui s’en défait. La réalisation se permet même de casser le quatrième mur à son sujet tant il semble peu probable que Margot Robbie puisse, au sein d’une société disposant de nos codes actuels, se considérer laide. On regrettera presque que toutes les décisions de Barbie ne soient motivées ou dirigées que par les autres (alternativement Barbie Bizarre, Mattel, Ken, sa « propriétaire » puis enfin sa créatrice) mais on y reviendra. Il demeure que Margot Robbie incarne parfaitement cette effigie de pseudo perfection qui connaît sa première crise existentielle, insufflant une balance délicate entre innocence un peu naïve dans un premier temps et détermination vide de toute essence belliqueuse dans un second temps. Sur ce point, le film fait montre d’une belle justesse.

D’autre part, le personnage de Ken incarné par Ryan Gosling suit une courbe d’évolution tout aussi juste, entre l’absurde de sa condition d’homme objet (je reviendrais sur la métaphore plus loin), son envie irrépressible d’un modèle dont il ne comprend rien simplement pour attirer l’attention et sa prise de conscience finale. D’un point de vue personnel, Ryan Gosling a longtemps été un de mes acteurs fétiches. Découvert dans Stay, the United States of Leland et Danny Balint, j’ai adoré ses choix de rôles jusqu’à la période post « Drive ». La répétition à l’excès de ses partitions de beau gosse impassible au visage fermé a eu raison de mon appréciation cependant jusqu’à ce que… Ryan Gosling lui-même prenne conscience qu’il se parodiait tout seul. Venant ainsi marquer le point d’orgue de cette introspection de l’acteur sur sa carrière, son jeu et ses rôles, Gosling enflamme tout, se tourne en dérision comme jamais et, au détour de pas de danses et d’une chanson faisant honneur au club Disney qui l’a vu débuter, fait montre de l’étendue de sa palette de jeu et de sa capacité à se réapproprier ce que les grands pontes hollywoodiens ont eu tendance à lui subtiliser : le contrôle de son personae.

Côté sonore, les Dua Lipa rencontrent les Billy Eilish, le tout se pare de manière évidente d’un côté très pop qui ne détonne ni n’étonne. C’est harmonieux sans être percutant et on retiendra de manière plus évidente l’humour des titres proposés plus que leur portée musicale.

En tant qu’objet cinématographique, Barbie est indéniablement une œuvre qui sait s’approprier les codes à sa disposition, exploitant l’aspect « branding » au point de vendre une Barbie dépressive dans un spot inopiné qui ne manquera pas de faire sourire quiconque aura vécu un épisode noir dans sa vie.

C’est maîtrisé, brillamment interprété, monté de manière soutenu, tous les ingrédients sont donc réunis afin de faire passer les messages voulus : le rebranding de Mattel et un souffle féministe.

Barbie par Mattel, from Klaus Barbie to close Barbie.

D’aucun pourrait saluer à quel point Mattel fait son autocritique durant le film, se dépeignant allègrement comme une entreprise hypocrite, dirigée exclusivement par des hommes prônant faussement une émancipation féminine, loin de l’idée originelle de la créatrice aujourd’hui décédée qui n’aurait eu à cœur que de créer une poupée à l’image de ce qu’elle souhaitait pour sa fille éponyme : riche de possibilités infinies.

Si on ne manquera pas à nouveau de rire de l’auto-dérision (le quatrième mur se mangeant une nouvelle roquette lorsque la créatrice évoque un possible second film portant sur son histoire et sa relation avec le fisc), il est difficile de ne pas voir, sous le couvert d’une franche marrade, les articulations d’une communication insidieuse (et probablement imposée à l’équipe technique) d’une marque en perte de vitesse.

D’abord accusée d’être une icône fasciste par le personnage de Sasha, Barbie va, en quelques dizaines de minutes à peine, emporter le plein soutien de cette dernière sans avoir véritablement eu à faire valoir quoi que ce soit si ce n’est la prise de conscience de son propre état. On n’est pas loin du « j’ai déconné c’est vrai, mais j’ai compris maintenant, faut que tu me reprennes ». Difficile d’adhérer à la sincérité d’un géant qui se cache derrière un cadavre pour marquer un soi-disant retour aux sources d’une idéologie prétendument féministe dès l’abord quand l’icône Barbie a pu être au centre d’autant de dégâts et de jeux d’influences au cours des quelques dernières dizaines d’années qui ont précédées.

Ce n’est pas pour rien que l’on parle « d’industrie » cinématographique comme de « l’industrie » du jouet. Barbie incarne ici une entreprise mercantile aussi nauséabonde que Macron qui vient taper le stream chez deux abrutis de YouTube. Ils sont là pour toucher un public, pour encaisser des profits et, idéalement, pour relancer la machine. Au vu des statistiques actuelles (un milliard au box-office, à une vache près ce n’est pas une science exacte), le pari est plutôt réussi et, loin de la bêtise crasse d’un Gran Turismo, on ne peut que saluer l’intelligence, retorse certes, de Mattel afin de redorer son petit blason et d’en faire disparaître, une fois pour toute, les ombres de croix gammées qui pouvaient suivre notre chère figure blonde aux yeux bleus (l'origine du nom Barbie, la réplique "j'ai des amis juifs")

Mattel marque ainsi son envie de faire de Barbie cette poupée proche de chaque petite fille, à l’image de la pin-up clignant de l’œil au début du film, enjoignant chacune à briser le crâne de son poupon. Le message est clair « viens avec moi petite, je serai ton émancipation ». On n’est pas loin de l’image du Dieu multiforme (Barbie peut tout être, de constructrice à Présidente) venant marquer le salut d’une plèbe perdue dans un modèle consumériste avilissant et asservissant… pourtant vendu allègrement par Mattel pendant des années. Ô l’ironie.

Le duo Gerwig-Blaumbach a dû ainsi se dépêtrer joyeusement des quelques lignes imposées par la production afin de faire de cette campagne pastel autre chose qu’une publicité de deux heures : dépasser le produit pour devenir œuvre, surmonter l’économique pour se teinter de politique, le défi était de taille.

Barbie et son message féministe : tant va la cruche à l’eau qu’Allan se brise

Gerwig s’efforce pendant les deux heures de long-métrage de marquer les comparaisons et les métaphores au gré des allers et retours entre Barbie Land et le monde réel. S’il est évident que le discours se veut de marteler une nécessaire prise de conscience sur la condition féminine, le chemin emprunté n’est pas toujours clair, pas plus que les solutions proposées.
Il y a, d’une part, Barbie Land, monde parfait pour la gent féminine où les soirées entre filles se répètent à l’infini et où les Ken n’existent que dans le regard des Barbies qui les ignorent. Elles sont heureuses et capables de tout dans un monde qui leur permet.

D’autre part, il y a le monde réel marqué par la domination du patriarcat où la simple condition d’homme ou presque suffit à se faire une place. Il aurait d’ailleurs été drôle de pousser l’absurde au point de voir le Ken interprété par Gosling véritablement trouver un poste alors qu’il ne dispose clairement pas de compétences quelconques.
Les deux univers dépeignent cependant la même chose : les hommes sont des abrutis, seuls la place qui leur est accordée diffère.

Si le message féministe, notamment via le discours de Gloria (la propriétaire de Barbie et mère de Sasha) est clair et important en ce qu’il dépeint le fardeau de la charge mentale supportée par chaque femme aujourd’hui, l’alternative proposée par le film à cet état de fait n’est pas limpide.
Lors de son retour à Barbie Land, Ken, galvanisé par le fait d’avoir vu des hommes respectés et au pouvoir veut transformer le monde en un repère dirigé par ses semblables. Tel Ulysse face au Cyclope, Barbie va user de ruse pour faire croire aux Kens qu’ils sont importants avant de les flouer et de rétablir le matriarcat propre à leurs univers. Deux interprétations sont possibles quant à cette issue.

Premièrement, une analyse très premier degré serait d’envisager que Greta Gerwig prône la nécessité d’un matriarcat. Les hommes ont eu leur chance et n’ont mené le monde qu’à peu de choses souhaitables (y compris à Barbie Land, et ce, en très peu de temps) il est donc temps de bousculer les choses. Une porte est ouverte sur la condition des Ken cela dit, sur l’origine de leurs actions, sur le nécessaire recul qu’ils doivent prendre sur la situation. La Présidente de Barbie Land démontre très clairement d’ailleurs tout refus de voir le système propre à leur univers changer d’une quelconque manière que ce soit. Le patriarcat ce n’est pas bien et il faut aussi prendre conscience que le patriarcat ce n’est pas terrible et que le patriarcat c’est mal. Le message étant aussi répété que le mot « immigration » dans un discours de militant RN, c’est dur de passer à côté. Mais renverser la vapeur du tout au tout, est-ce vraiment le message simpliste envoyé par Greta Gerwig ? J’aime à penser que non.

En effet, une autre analyse est possible dans un second temps : durant tout le film le Barbie Land n’est pas le simple négatif de notre monde actuel, inversant bêtement les rôles, mais une métaphore de la pseudo évolution sociétale des dix dernières années.

Prenant le rôle d’hommes objets, les Ken vont tenter une émancipation avant de se voir rappeler à leur condition avec une évolution mineure. En écho avec la phrase d’un cadre sup’ du monde réel « le patriarcat n’a pas disparu, on a juste appris à mieux le cacher », Barbie deviendrait une incarnation féminine du patriarcat et les Ken seraient donc dans cette métaphore… les femmes. La chanson de Gosling voulant être apprécié pour autre chose que sa beauté plastique marquerait ainsi le point d’orgue, paradoxalement, du message féministe diffusé. La conclusion en viendrait ainsi à un semblant d’osmose entre les deux mondes, une façon d’interroger les consciences : « regardez le peu d’évolution au final, ça vous semble suffisant ? ».

Par le prisme de ce matriarcat rétabli, Barbie interroge donc la survivance du modèle patriarcal depuis la trop faible émancipation féminine de ces dernières années et en cela, Gerwig signe une réflexion profonde et intelligente sur les systèmes en place qui, malheureusement, la foule étant un zombie décérébré incapable de finesse (à l’instar des stéréotypes servant la démonstration), peinera peut-être à faire mouche.

Dans son architecture, avec l’emploi de caractères simplistes et figés, le film fait pourtant montre de la nécessaire et progressive déconstruction. Là où le bât blesse cependant c’est que le discours se voit trop peu subtil par moment et trop fin à d’autres, ce qui ne manquera pas d’apporter de l’eau aux moulins des extrêmes de tous bords à l’instar des diarrhées rédigées çà et là, bien révélatrices des capacités intellectuelles de bêleurs des Ardennes de leurs auteurs respectifs.

On ne manquera pas de s’attrister aussi du peu de place accordée à Allan, sans doute le personnage le plus juste et le meilleur allié des deux camps, celui qui s’inscrit hors des batailles, qui respecte autant les Barbie que les Ken. Allan c’est un peu le type qui essaie de bien faire et qui finit quand même tout seul, ignoré de tous. Est-ce un acte manqué, un choix de montage, une idée non aboutie ? Dur de le savoir tant le personnage aurait mérité un meilleur sort et aurait pu, tout comme la Barbie de Margot Robbie, devenir le vecteur, loin des Ken abrutis et des boomers dépassés qui composent le gros de notre société, d’un mouvement masculin féministe, désirant ardemment faire bouger les choses. Parce qu’Allan a compris lui, mais demeure celui qu’on ne voit pas.

Tant de choses à dire sur Barbie, c’est une œuvre complexe qui se situe au carrefour d’enjeux paradoxalement opposés. Riche de messages forts et véritable prisme à travers duquel on peut, tout à loisir, rire d’un monde qui ne tourne pas rond, se désoler de faire partie du problème mais aussi, et surtout, se dire qu’il est peut-être encore temps d’y trouver sa place.

Samuel_C_
8
Écrit par

Créée

le 17 août 2023

Critique lue 25 fois

Samuel_C_

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