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La reine des connes
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le 6 juin 2011
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Et l'espoir de la meilleure actrice est... Juliette Godemiche dans L'Insupportable.
Un des premiers plan du film : une rupture sur fond sonore d'un train qui passe rendant le dialogue quasiment inaudible. Soit, ça a l'avantage d'annoncer la couleur.
Ce film cumule tous les clichés des films d'auteur français (et la sauce ne prend pas) : un manque de rythme au scénario et au montage, un cadrage arty brouillon, un jeu froid voire mauvais des acteurs, des personnages à fleur de peau aussi sympathiques que des portes de prisons, un petit milieu élitiste parisien, une intrigue de crise interpersonnelle qui ne finit pas d'en finir.
Cela dit, tout n'est pas à jeter dans ce film. On remarquera quelques pointes d'humour (volontaires ou non d'ailleurs), l'actrice principale qui arrive à surnager un peu, et enfin le mérite pour la réalisatrice d'avoir fait une œuvre subjective et personnelle dont la communication émotionnelle sur un malaise conjugal réussit plus ou moins bien à trouver un écho chez le spectateur.
Ce film cumule tous les clichés des films d'auteur français (et la sauce ne prend pas) : un manque de rythme au scénario et au montage, un cadrage arty brouillon, un jeu froid voire mauvais des acteurs, des personnages à fleur de peau aussi sympathiques que des portes de prisons, un petit milieu élitiste parisien, une intrigue de crise interpersonnelle qui ne finit pas d'en finir.
Cela dit, tout n'est pas à jeter dans ce film. On remarquera quelques pointes d'humour (volontaires ou non d'ailleurs), l'actrice principale qui arrive à surnager un peu, et enfin le mérite pour la réalisatrice d'avoir fait une œuvre subjective et personnelle dont la communication émotionnelle sur un malaise conjugal réussit plus ou moins bien à trouver un écho chez le spectateur.
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le 22 juin 2011
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Critique de Belleville Tokyo par TiBer0use
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