le 23 avr. 2023
Le bleu est une couleur chair
Je fais partie de ces spectateurs qui détestent ce qu’on appelle les « films à tract ». Pour la faire simple, il s’agit d’un film plus préoccupé dans l’idée de marteler son discours, aussi noble...
Application SensCritique : Une semaine après sa sortie, on fait le point ici.
C'est un merveilleux de film de nuances et zones grises pour expliquer les turbulences que provoquent une loi et une société homophones.
La difficulté d'être soi. La tentation de se cacher voire de se renier. Pour chercher à se protéger à survivre.
Jean enseigne le sport dans un lycée alors que Thatcher promeut une loi interdisant la promotion de l'homosexualité.
Elle est obligée de mentir. Voire de dénoncer une élève qui a embrassé une autre élève. Elle reçoit comme reproche de ne pas donner un modèle à une élève lesbienne.
D'un côté on trouve son attention critiquable. De l'autre on comprend qu'elle cache une souffrance celle d'être obligée de se cacher par la société. Un film fin qui montre le vécu sous une homophobie d'Etat.
Créée
le 2 sept. 2025
Critique lue 3 fois
le 23 avr. 2023
Je fais partie de ces spectateurs qui détestent ce qu’on appelle les « films à tract ». Pour la faire simple, il s’agit d’un film plus préoccupé dans l’idée de marteler son discours, aussi noble...
le 27 mai 2023
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