Lorsque j'avais vu la bande annonce du film en 2003 j'ai tout de suite voulu le voir. Les choses ont fait que c'est arrivé 15 ans après.


C'est un polar noir, à mi chemin avec le fantastique avec les cauchemars du personnage joué par Josiane Balasko. En général ce n'est pas ma tasse je thé les films qui font "dans le bizarre" mais j'ai bien aimé celui, sans doute le côté policier. Ce qui m'a aussi aidé à l'apprécier je pense c'est l'excellence des acteurs, Josiane Balasko et Eric Caravaca en tête. Balasko joue un rôle à contre-emploi dont je me souviens avoir tout de suite senti la qualité dans la bande annonce. Même si je dois avouer une déception. Ma déception vient du côté étrange du film. J'aurais préféré un film plus dans le style des réalisations d'Olivier Marchal. De là j'aurais souhaité en savoir un peu plus sur les personnages, de Balasko et de Caravaca ou même sur la fille de la victime, ... . En dehors de ces petits points (question de goût) qui sont le partis pris du film je n'ai rien à dire sur la réalisation ou le jeu des acteurs que j'ai trouvé très bien.


A voir.

Créée

le 15 nov. 2018

Critique lue 458 fois

Joachès

Écrit par

Critique lue 458 fois

D'autres avis sur Cette femme-là

Cette femme-là
cathymontaub
8

OK, je m'y colle...

"Cette femme-là" sort des clous par bien des aspects et ce n'est pas pour me déplaire: d'abord le parti pris de choisir des acteurs qui ont à peu prés la même gueule que toi quand tu sors du lit, à...

le 5 déc. 2011

2 j'aime

Cette femme-là
Caine78
6

Balasko magistral, le scénario un peu moins

Très estimable, mais on pouvait attendre encore mieux de ce film. En effet, la mise en scène de Nicloux était très bonne, et on suivait ce polar avec beaucoup d'intérêt, d'autant que l'atmosphère...

le 18 oct. 2017

1 j'aime

Cette femme-là
Joachès
5

A contre-emploi

Lorsque j'avais vu la bande annonce du film en 2003 j'ai tout de suite voulu le voir. Les choses ont fait que c'est arrivé 15 ans après. C'est un polar noir, à mi chemin avec le fantastique avec les...

le 15 nov. 2018

Du même critique

Le Papyrus de César - Astérix, tome 36
Joachès
6

L'esprit de Goscinny se réveille

César à décidé faire publier sa Guerre des Gaules, mais son éditeur Bonus Promoplus alias Jacques Séguéla (que je n'ais pas du tout reconnu, comme Julian Assange ou Jean Reno) lui conseille de...

le 22 oct. 2015

9 j'aime

2