Chroniques de Tchernobyl est l'archetype même du film de frisson au speech attrayant. Il suffit juste de lire le résumé et de voir la jaquette pour que le spectateur avide de frissons se doute de l'issue évidente qui sera réserver aux protagonistes du film. Alors dès les 30 premières minutes on découvre ces 6 jeunes se préparer pour une "excursion de l'extrème" à Pripyat, ville abandonné aux abords de la centrale de Tchernobyl. Alors on se dit...."ah oui ! ils ont bien cons effectivement, on ne previent personne, on fait confiance à un type louche qui nous emmène dans son vienux tacot d'avant guerre, on fait fit des avertissements des militaires....ça sent la grosse tatanne d'une bande de toxic Avengers ça...." Puis, 35 minutes plus tard, après la découverte de Pripyat, on se rends compte qu'il ne reste plus que 15 minutes jusquà la fin du film. Après visionnage le constat est simple : sans surprise, pauvres en émotions fortes "Chroniques de Tchernobyl se veut un mélange de Hostel et The Descent mais fait un peu tache à coté de ses deux prédécesseurs.