Parfois la vie est cruelle, mais ça n'a aucun foutu rapport avec la critique à venir.
Jour de pluie, moto au garage et comme une envie d'aller au cinéma pour voir..un film!
C'est logique me direz-vous! Sauf s'il y'a autre chose à faire dans un multiplex. Dans ce cas, il faudrait que je sache, pour ma culture ou pour la science.
Bref.
Cocaïne Bear était une proposition alléchante...alléchiante dans les faits.
La mise en scène n'a rien de bien folichon ( j'écris cette critique depuis les années 70, sauvez moi, les gens portent des pantalons étranges).
Trop bon pour être mauvais, donc drôle.
Trop mauvais pour être bon, logique.
Même si l'histoire peut sembler originale, la réalisatrice n'ose pas.
Pourquoi?
Bridée par sa morale?
Le manque de talent?
Plus de pizza au self-service d'universal?
Aucune idée, mais les péripéties manquent de trash!
Des enfants sous cocaïne, oui mais non, ça ferait mauvais genre.
De méchants pas gentils gentils, oui mais quand-même sympa gentils.
Au final j'ai "détesté" voir Ray Liotta dans ce qui serait son dernier film.
Finir comme ça! Pour vous, nous, moi la vie est parfoit cruelle.