Le fan-service au secours du cinéma commercial japonais : hourra !
Ça s'améliore par rapport à l'exceptionnellement mauvais premier volet. J'ai même cru que le réalisateur était différent, la mise en scène étant nettement moins balourde (mais n'en reste pas pour autant terriblement quelconque).
Mais je vais vous dire ce qui fait l'intérêt du film : la façon dont le réalisateur flatte l'oeil des gens de bon goût qui apprécient les jolies nanas. Passons vite fait sur quelques délicieux plans insistant sur les jambes interminables de Nana Katase pour aller droit au but : la délicieuse Erika Toda, véritable émanation de pure fan-service labélisée 100% kawaii qui dans une séquence d'anthologie qu'on croirait sortie d'un AV fétichiste se voit attachée à une sorte de siège de dentiste, totalement à la merci de nous autres pervers. Un grand moment.