4
Des fissures partout
Fissure sur le miroir du docteur, fissure sur le pare-brise de la décapotable, déchirure sur le pantalon d'un agresseur de l'embuscade du « bon repos » ( qui disparaît miraculeusement...
Par
le 25 oct. 2020
2 j'aime
Des frissons partout par p3i
Un des "Constantine" les plus mal joués (c'est dire !) ; les cascadeurs attendent les coups encore un peu plus que d'habitude et les dialogues sont insignifiants. Aucune surprise donc pour qui sait que Raoul André n'a jamais fait un bon film (les meilleurs "Constantine" sont signés Bernard Borderie).
Cela dit, les femmes sont sexy et les scènes se succèdent assez vite et j'ai suivi avec distance, mais sans ennui. De plus le côté désuet et la nostalgie de la jeunesse ont fait que j'ai souri quand même. Bien sûr, ça ne vaut pas "Les femmes s'en balancent" et ses répliques "cultes", loin de là. Il n'y a qu'une réplique un peu piquante et c'est la dernière du film.
Le titre est bien.
4
Écrit par
Créée
le 17 sept. 2020
Critique lue 395 fois
3 j'aime
2 commentaires
D'autres avis sur Des frissons partout
3
Des frissons partout... de désolation
Le casting est bon, mais il est vrai que le film conne des "frissons partout", mais pas ceux auquel on penserait ! Des frissons de désolation ! Il faut bien avouer que la réalisation est médiocre,...
le 1 oct. 2020
1 j'aime
3
En chute libre
Des frissons partout est un film assez catastrophique que même Constantine de parvient pas à sauver. Le scénario n'a ni queue ni tête et part réellement dans tous les sens. On essaie de sourire...
Par
le 19 sept. 2020
1 j'aime
Du même critique
8
Deux versions incomparables.
Il faut préciser que quand, dix ans après son film d'esprit marseillais en deux parties "Manon des sources" et "Ugolin", Pagnol a écrit "L'eau des collines", il a lui-même remis les faits dans...
Par
le 2 févr. 2015
19 j'aime
12
9
La vie est un théâtre d’ombres.
Le film est inspiré d’une histoire réelle survenue dans les années vingt. Et le film commence : Une vision légère et... noire. Les extérieurs d'entre Saône et Rhône permettent de situer l'action dès...
Par
le 22 févr. 2015
17 j'aime
5
10
Les versions incomparables
Il faut préciser que quand, dix ans après ce film d'esprit marseillais, Pagnol a écrit "L'eau des collines", il a lui-même remis les faits dans l'ordre chronologique et a créé une atmosphère sombre...
Par
le 2 févr. 2015
15 j'aime
