Un Dracula à la sauce Hammer qui parait bien faible, surtout par rapport à un sommet du mythique studio avec "Le Cauchemar de Dracula", la faute à un scénario bourré d'incohérences et de répétitions et à un rythme plus qu'inégal.
Le réalisateur du film Freddie Francis avait dû très bien le comprendre car il y a soigné, en très bon directeur de la photographie qu'il était, l'aspect technique de l'ensemble et réussit à incruster quelques petites séquences inspirées, à l'instar de l’empalement final, ou quelques idées intéressantes non dénuées de subversion comme par exemple le prêtre transformé en esclave par Dracula ou encore le fait qu'un évêque est obligé de collaborer avec un jeune athée pour combattre les forces du mal.
Mais cela ne suffit malheureusement pas à cacher la pauvreté de l'ensemble.