Ce documentaire donne la voix aux personnes ayant subi des effets secondaires liés aux vaccins anticovid-19. Ces patients sont invisibles. On ne les entend pas, on ne les compte pas ou peu. Les médias les ignorent. Ils sont tabous. (1)
Raphaël Berland a réuni à la fois des témoignages de victimes de ces vaccins mais aussi d’experts qui tentent d’analyser et de comprendre pourquoi cette vérité est cachée. À l’occasion de son enquête, le réalisateur a reçu plus d’une centaine de témoignages. Il nous livre les plus marquants.
La situation de certaines victimes des vaccins anti-covid est dramatique. En effet, le climat de peur que font régner les médias officiels et le gouvernements favorisent des attitudes méfiantes et une absence de reconnaissance de la part de certains médecins. Les patients sont alors doublement victimes : des effets secondaires du vaccin et d’une errance médicale.
Ces personnes pourraient être vos enfants, vos cousins, des amis ou des voisins. Elles n’avaient, au départ rien contre les vaccins à ARNm au contraire. Je vous propose une synthèse de ces témoignages.
Les premiers concernent des personnes touchées physiquement. La deuxième série est plus triste. Ce sont des personnes ayant perdu un être cher : un époux, un fils, une fille. Ils ont tenu à témoigner pour que la tragédie qu’ils ont vécue ne touche pas d’autres familles. On ne peut que saluer leur courage et leur dignité.


Céline, 46 ans, institutrice, mère de Quentin
Céline explique qu’elle a fait “confiance aveuglément” aux autorités de santé et au gouvernement. Son fils, dont elle ne donne pas l'âge, reçoit le vaccin Pfizer le 4 juillet 2021.
Trois jours plus tard, Quentin commence à aller mal. Le quatrième jour, il a très mal au thorax. Aucun cachet ne peut soulager sa douleur. Céline emmène Quentin aux urgences. Son fils a une myocardite, c’est-à-dire une inflammation du muscle cardiaque. Son taux de troponines dans le sang est de 29000. En général, les médecins s’inquiètent sérieusement à partir de 5000. Son seuil est six fois plus élevé que le seuil grave ! Il aurait pu en mourir.
Quentin garde tout de même des séquelles de ce grave effet secondaire du vaccin. Cet enfant n’avait pas d’antécédents médicaux. Il était sportif, jouait au foot et à plein d’autres sports. Aujourd’hui, il ne peut plus faire de sport, il n’a plus le droit de courir. Il est sous surveillance. Son fils ne recevra pas sa deuxième dose.


Bénédicte, 42 ans, travaille dans la gestion des déchets
Aujourd’hui Bénédicte estime avoir une bombe à retardement dans le corps. Avant son vaccin, sa condition physique n’était “pas mauvaise”. Elle montait régulièrement à cheval.
Le 15 juillet 2021, elle a reçu la première dose de son vaccin Astrazeneca. Elle a décidé de se faire vacciner pour pouvoir profiter de l’été et du temps avec ses enfants. Après la piqûre, elle ressent des douleurs au bras qui sont “tolérables”.
Treize jours plus tard, Bénédicte ne ressent plus rien. Son bras est devenu “mort”. Le visage suit. Paniquée, elle s’allonge. Sa famille appelle le SAMU. Elle est emmenée à l’hôpital de Valence. Les soignants qu’elle rencontre tiquent lorsqu’ils apprennent qu’elle a reçu son vaccin récemment. L’un d’entre eux, inquiet, affirme qu’il s’agit de la troisième personne dans le même cas en peu de temps.
Le diagnostic tombe : Bénédicte a fait un AVC ischémique. Heureusement, le traitement qu’elle reçoit à l’hôpital fonctionne bien. Elle rentre chez elle munie d’un certificat de contre-indication à la vaccination que le neurochirurgien lui a donné. Elle ne fera pas sa dose de rappel.


Carole, sans emploi
Elle est québécoise. Depuis le vaccin elle souffre d’une paralysie de Bell sévère. Il s’agit d’une faiblesse ou d’une paralysie du nerf facial ou septième nerf crânien qui contrôle les muscles du visage, et stimule la glande salivaire et les glandes lacrymales. Ce nerf permet aussi à la langue de détecter les goûts. Il joue aussi sur l’ouïe. (2)
Avant, Carole n’avait aucun problème de santé particulier. Elle s’est faite vaccinée le 22 avril 2021 avec le vaccin Astrazeneca. Le 12 mai, alors qu’elle est assise devant la télévision, elle ressent une sensation derrière l’oreille. Puis, elle s’aperçoit qu’elle ne peut plus parler correctement. Le lendemain matin au réveil, elle constate que la moitié de son visage est complètement paralysé.
Elle se rend à l’hôpital. La consultation dure cinq minutes. Carole rentre. Le médecin, une femme, lui demande ce qu’elle a. Carole explique la situation et précise qu’elle a reçu son vaccin vingt jours plus tôt. Le médecin balaye ses doutes du revers de la main : “Oh non, ce n’est pas ça !”
Carole demande si elle peut avoir un document médical pour son travail. Le médecin refuse. Carole s’entend dire qu’elle risque de rester malade toute sa vie. Puis, lorsqu’elle rencontre son ORL, cette dernière lui dit : “vous êtes mieux, même amochée comme vous êtes, qu’avec le covid.”


Khaled El-Sayed, 56 ans, gérant de société
Il peine à s’exprimer. C’est son épouse, pour l’essentiel, qui prend la parole. Il gérait deux entreprises. Aujourd’hui, il est incapable de travailler. “Mon mari était sportif”, explique l’épouse. Le 3 mai 2021, il s’est fait vacciner avec le Pfizer. Il souhaitait “faire comme tout le monde”. L’épouse dit : “On était obligé de faire le vaccin pour vivre”.
Hélas, sept jours après son vaccin, Khaled ne peut plus parler. Il ne contrôle plus sa main droite. Il ne se souvient plus du nom de son épouse. Son regard est hagard. Les médecins expliquent à l’épouse qu’elle sera bientôt veuve. Il n’y a rien à faire.
Khaled a survécu. Il est allé dans un centre de rééducation. Il est revenu chez lui mais il ne peut plus travailler. Que s’est-il passé ? Il a eu un AVC. Le diagnostic est confirmé par trois rapports médicaux. À chaque fois, il est indiqué que l’AVC est survenu peu de temps après la vaccination. Aucun médecin, cependant, n’aura l’honnêteté de confirmer qu’il y a certainement un lien entre les deux événements.


Vincent, informaticien
Il était sportif. C’était un pompier volontaire. Il a reçu deux doses du vaccin Pfizer. La deuxième a eu lieu le 7 juillet 2021. Il voulait être disponible pour sa mère dont il s’occupait.
Les effets secondaires sont apparus dans la journée de la deuxième dose et ils étaient nombreux : maux de tête alors que Vincent ne souffrait jamais de maux de tête -, grande fatigue, les yeux qui pleurent devant son écran, gène permanente à la gorge, troubles digestifs. Son bras droit a durci.
Lorsqu’il décrit ses symptômes au médecin, ce dernier le prend sur le ton de la rigolade. Le médecin raconte à Vincent les “délires” de ses patients, ceux qui souffrent de la 5G et d’autres “délires” complotistes.
Vincent explique qu’il n’avait pas vraiment envie de rire ce jour-là. Il dit cela en souriant. Son témoignage est poignant. Il sourit mais c’est un visage fatigué qui regarde la caméra. La deuxième dose aura été un traumatisme. Vincent n’a pas du tout envie de faire une troisième dose. Cela aussi, il parvient à le dire avec le sourire.


Brigitte, retraitée
Brigitte a perdu son époux. Au moment des faits, ce dernier a 81 ans. Quelques mois plus tôt, il a fait un “check up” complet. Tout va bien. Il est impatient de se faire vacciner. Brigitte et son époux sont allés se faire vacciner dès le jour de l’ouverture aux personnes âgées. C’était un vaccin Pfizer.
Il a développé un syndrôme de guillain-barré. (3) Ses cordes vocales se sont figées, puis les organes vitaux se sont paralysés. Les reins, la vessie, l’intestin… tout s’est bloqué. Il a été à l’hôpital pendant trois semaines et demi. Puis, le médecin de garde est venu voir Brigitte. Elle lui a dit que son mari allait rentrer avec elle. Aucune autre explication ne lui a été donnée.
Lorsque Brigitte a vu son mari, elle a compris pourquoi on le lui rendait. Les médecins ne savaient plus quoi faire. Il est décédé trois jours plus tard. Brigitte en veut au système médical parce qu’on ne lui a pas dit la vérité. Elle a demandé à l’hôpital un rapport complet sur les traitements reçus par son mari. Ni elle, ni ses médecins n’ont rien reçu. Elle n’ira pas se faire administrer une nouvelle dose.


Guy, 62 ans, retraité de la police nationale, père de Mélanie
Mélanie allait fêter ses 16 ans. Elle était suivie médicalement pour une suspicion de syndrome de marfan. (4)
Cette maladie infantile et héréditaire rare provoque des anomalies au niveau des yeux, des os, du cœur, des vaisseaux, des poumons et du système nerveux. C’est un problème au niveau du tissu conjonctif, qui est la “charpente” de soutien des organes. (5) Mais on n’en meurt pas !
Mélanie a voulu se faire vacciner. Elle ne voulait pas être exclue de la vie : des magasins, du cinéma, etc. Le 11 juillet 2021, elle a reçu sa première dose de vaccin Pfizer.
Deux jours plus tard, Guy retrouve sa fille dans le garage allongée sur le dos. Il la croit morte. Il commence un massage cardiaque et le bouche à bouche. Un couple, passant par là et voyant la scène, vient l’assister. Guy continue le bouche à bouche tandis que l’homme poursuit le massage cardiaque. Quand les pompiers arrivent, Guy pense que sa fille est sauvée. Il a eu de l’espoir car elle n’avait plus “son visage de mort”.
Elle est soignée à Montpellier dans une unité de soins intensifs. Les médecins expliquent à Guy que la situation est catastrophique. Mélanie a des oedèmes dans le cerveau. Les jours passent. La famille de Mélanie est confrontée à un choix : la maintenir en vie dans un état de légume ou la laisser partir tranquillement.
Ils ont laissé Mélanie partir. Elle a eu un emballement du cœur. La seule raison qui explique cet emballement soudain est le fait qu’elle ait été vaccinée deux jours avant.


Keith
Son épouse et son fils témoignent. Il est décédé à 64 ans alors que son état de santé était bon.
Il avait besoin du vaccin pour pouvoir voyager. Il reçoit sa première dose d’Astrazeneca le 18 mai 2021. Son épouse a précisé au soignant que son mari était “anaphylactique”. La réponse a été “Ce n’est pas un problème”.
Keith est revenu chez lui. À un moment donné, il a eu du mal à respirer. Son fils et son épouse ont fait un massage cardiaque. Mais Keith est mort sous leurs yeux.
Le médecin a demandé au fils de Keith s’il avait la covid 19. Le fils a répondu que ce n’était pas le cas mais qu’avant son vaccin, son père n’avait pas été testé. Le médecin a dit que Keith aurait dû faire un test et qu’il était certainement décédé de la covid 19.
Pour le fils de Keith, son père a été victime d’un « meurtre » perpétré par le corps médical.


Frédéric, papa de Maxime, restaurateur
Maxime, 22 ans, est allergique aux cacahuètes. L’arrivée du pass sanitaire le prive de sorties avec ses amis, de vie sociale. Il décide malgré son allergie de se faire vacciner. Son père espère secrètement, qu’à l’examen de son dossier médical, le médecin le dispensera de vaccin. Ce n’est pas ce qui se passe.
Il est vacciné le 26 juillet 2021 à 14 heures avec le vaccin Pfizer. Le soignant explique qu’il n’y a pas de cacahuète dans les vaccins. Le soir vers 22 heures, Maxime devient tout rouge et ne parvient plus à respirer. Il manque d’oxygène. Les secours arrivent. Il est soigné à l’hôpital pour un œdème de Quincke.
Il s’agit d’une réaction du système inflammatoire qui produit un gonflement de la tête et du cou.
Chez Maxime, les symptômes ne sont pas extérieurs. Son visage n’est pas gonflé. En revanche, les traitements qu’on lui prodigue donnent le résultat inverse. Le jeune homme décède à l’hôpital.
Pour les soignants, c’est une allergie à un aliment qu’il aurait mangé au restaurant avant de se faire vacciner.
Frédéric pense que le décès est lié au vaccin. En effet, il explique que Maxime avait une allergie olfactive à la cacahuète. Sa réaction allergique aurait été déclenchée dès la consommation, voir la mise en présence des aliments du restaurant. Ce n’est pas ce qui s’est passé.


Les victimes sont-elles des exceptions ?
Peut-être pensez-vous qu’il s’agit de cas isolés. Ces adolescents, ces parents, ces familles auraient simplement manqué de chance. Il est vrai que souvent les effets secondaires surviennent chez des personnes ayant déjà des faiblesses : une allergie, une suspicion d’allergie, etc.
Toutefois, cela n’est pas vrai à chaque fois. Par ailleurs, de nombreux professionnels ont remarqué sur le terrain une augmentation importante du nombre d’effets secondaires liés aux vaccins anti covid 19. Le nombre de cas n’a rien à voir avec ce qui se passe avec les vaccins classiques.
Christine Cotton, biostatisticienne, a travaillé 23 ans comme prestataire de l’industrie pharmaceutique en tant qu’organisatrice d’essais cliniques. Elle a produit un rapport critiquant les essais cliniques de Pfizer ayant menés à l’autorisation du vaccin de ce laboratoire en France. (6)
Selon elle, il y a énormément d’effets indésirables de type cardio-vasculaires : thromboses, embolies pulmonaires, AVC, infarctus du myocarde, hémorragies, etc. Il y a également des fausses couches, des péricardites et des myocardites.
Elle estime que ces événements interviennent dans un délai post vaccinal très rapide.


Quels sont les chiffres officiels ?
La Directrice de l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament et des produits de Santé (ANSM), Madame Christelle Ratignier-Carbonneil, a expliqué lors d’une audition au Sénat qu’il y avait eu 110 000 effets secondaires liés aux vaccins au 1er décembre 2021. (7)
Dans le détail, cela donnerait :
Pfizer : 68000 cas d’effets indésirables sur 80 millions d’injections ;
Moderna : 15000 cas d’effets indésirables sur 11 millions d’injections ;
Astrazeneca : 27000 cas d’effets indésirables sur 8 millions d’injections ;
Johnson & Johnson : 1000 cas d’effets indésirables pour 1 million d’infections.
76% de ces effets secondaires seraient considérés comme non graves. Donc, 24% seraient sérieux ou graves. Cela fait tout de même 26 400 victimes potentielles dont beaucoup ont moins de 50 ans. Or, ces personnes ne risquaient pratiquement rien s’ils avaient attrapé la Covid 19.
Par ailleurs, en temps normal, il y a 45000 déclarations d’effets secondaires, tous médicaments confondus, d’après Christelle Ratignier-Carbonneil. Avec les vaccins anti covid 19, il y a donc plus de deux fois plus d’appels. Mais la Directrice de l’ANSM estime que cela est dû au fait qu’habituellement, seuls les médecins font des déclarations. Désormais, 40 à 60% des déclarations seraient faites par les patients. (8)


Le centre de pharmacovigilance de Tours sous tension
Les chiffres de l’ANSM sont confirmés au niveau des centres de pharmacovigilance. À Tours, où est installé le centre pour la Région Val de Loire, 6854 déclarations auraient été formulées pour toute la région. La responsable de ce centre de pharmacovigilance, le Dr Annie-Pierre Jonville-Béra a affirmé dans la presse locale que cela revenait à “six années de travail en une”. En effet, habituellement, le centre n’enregistre pas plus de 1300 déclarations d’effets secondaires par an. (9)
En 2022, cette surcharge de travail se poursuit. Plus de 600 déclarations ont été enregistrées pour le seul mois de janvier. Le centre doit faire face à un manque de personnel pour gérer cette situation bien que les trois praticiens spécialisés en pharmacologie de l’équipe aient désormais été rejoints par deux assistants. La conclusion du Dr Jonville-Béra est: "On manque de personnel et on peine à recruter, confie la cheffe du service. On fait des journées de douze heures. Certains n’ont pas tenu et sont partis."
Si la plupart des appels concernent des effets secondaires relativement mineurs comme des rougeurs, maux de tête ou douleurs diverses que l’on retrouve avec de nombreux vaccins, il arrive aussi que des cas de péricardites ou de myocardites soient remontés.
Le constat est le même dans de nombreux autres centres de pharmacovigilance. À Toulouse, l’activité par exemple a été multipliée par quatre sur l’année 2021. (10)
Comme avec les patients, les professionnels en charge du décompte ont toujours une bonne explication pour dédramatiser la situation. Il n’y a partout qu’un seul discours : les effets secondaires liés au vaccin n’ont rien d’anormal et ils sont toujours beaucoup moins graves que ce que les patients auraient eu s’ils avaient contracté la Covid 19.


D’autres signaux d’alarmes
L’augmentation globale des myocardites et des péricardites depuis le lancement des campagnes de vaccination est un signe inquiétant. Les médias et les autorités ont tendance à minimiser ce chiffre puisque le SARS-CoV-2 peut, lui aussi, provoquer des myocardites.
C’est chez les sportifs que cette montée a le plus fait parler. Alors qu’en 2020 il y aurait eu 3 décès sur les terrains de foot et plus de 15 en 2021. Les volumes restent faibles mais on parle d’une multiplication par 5 des cas soit une augmentation de 500% ! Si bien qu’il est facile de les minimiser. Ils sèment toutefois une certaine inquiétude chez nombre de jeunes sportifs. Pour nombre d’entre eux, c'est du jamais vu. (12)
D’autres chiffres inquiètent comme celui des problèmes de menstruation chez les femmes. Nombreuses sont celles qui, ménopausées, ont vu réapparaître leurs règles après le vaccin. Ce n’était pas une bonne surprise. (13)


Silence ou minimisation de la part des médias et de nombreux médecins
À chaque fois qu’un problème est soulevé concernant les vaccins il est balayé par le corps médical et minimisé par les médias. Pourquoi ?
Il y a, au niveau des médias et des grands moteurs de recherche, une volonté affichée de contrôler l’information que reçoivent les utilisateurs. Ainsi, Google et l’AFP ont conclu un accord historique dont le montant est resté confidentiel sur la “lutte contre la désinformation.” (14)
Cet accord signifie que le géant américain va rémunérer l'AFP pour les recettes qu'il engrange avec l'utilisation de ses contenus.
Google, particulièrement désireux de voir l’information sur les vaccins bien vérifiée a par ailleurs passé un accord avec différents médias et organismes de “fact checking” pour s’assurer que les informations aillent toutes dans le sens voulu par Google. (15)
Le problème est que dans cette affaire Google est à la fois juge et partie. En effet, depuis une décennie, Google s’est rapproché de l’industrie pharmaceutique. Ainsi plusieurs fusions d’activités entre les filiales de Google et des filiales pharmaceutiques ont eu lieu. Google s’est par exemple allié avec Sanofi pour travailler sur le diabète (16) avec Pfizer pour faire des études sur le séquençage de l’ADN (17) et avec GSK sur la médecine bioélectronique. (18)
Désormais, Google a un intérêt direct à servir les objectifs de ces firmes. Cela ne va pas dans le sens d’une information libre, éclairée et pluraliste.
La plupart des grands médias du monde appartiennent à quelques milliardaires qui, de près ou de loin, sont actionnaires de l’industrie pharmaceutique. Pourquoi s’en priveraient-ils ?
C’est là que les bénéfices sont les plus sûrs et les meilleurs, surtout lorsque les gouvernements s’y mettent à leur tour.


Un problème de responsabilité
C’est aussi pour cela que le film de Raphaël Berland est précieux et courageux. Il montre le double jeu des chefs d’Etats et de gouvernement. Ces derniers ont mis une pression considérable sur les populations pour qu’elles se fassent vacciner. (1)
D’improbables récompenses ont été promises aux citoyens qui acceptaient la vaccination. À Hong Kong, on pouvait gagner un appartement, à New York on vous offrait un Hot Dog, en Virginie c’était une arme à feu… Ailleurs, les non vaccinés risquaient des amendes ou l’exclusion sociale à travers des systèmes de pass sanitaire ou vaccinaux. On exigeait une responsabilité totale de la part des citoyens. Dans la bouche de nos dirigeants, cela voulait dire “vaccinez-vous !”. (1)
Juste avant cela, les laboratoires pharmaceutiques avaient pu signer des contrats de nonresponsabilité avec les dirigeants de l’Union européenne. Ces contrats de la honte n’ont pas été soumis à la lecture des députés européens. Et lorsque les plus téméraires de ces derniers ont demandé à les lire, on leur à remis des copies raturées. Les clauses importantes des contrats avaient été soigneusement masquées (caviardées). (19)
Les Députés européens, représentants des peuples européens n’avaient accès ni au prix des vaccins, ni aux sommes versées aux laboratoires pharmaceutiques, ni même aux fameuses clauses exonérant les laboratoires pharmaceutiques des coûts liés aux procès qui leurs seraient intentés en cas d’effets secondaires.
Les dirigeants politiques européens ont permis aux entreprises pharmaceutiques d'engranger les plus grands profits de l’histoire du capitalisme sans avoir à se soucier une seconde de leur responsabilité vis-à-vis des consommateurs. (20)
Et pendant que les uns comptaient leurs bénéfices, les autres pleuraient leurs morts ou comptaient leurs blessures liées aux vaccins.
On peut espérer qu’un jour ces responsables politiques, ces médias, et ces dirigeants de firmes pharmaceutiques rendront des comptes.*


Références :


(1) https://odysee.com/@MagazineNexus:b/EffetsSecondairesLaFaceCacheeDesVaccins:d
(2) https://www.passeportsante.net/fr/parties-corps/Fiche.aspx?doc=nerf-facial
(3) https://www.who.int/fr/news-room/fact-sheets/detail/guillain-barr%C3%A9-syndrome
(4) https://www.msdmanuals.com/fr/accueil/probl%C3%A8mes-de-sant%C3%A9-infantiles/maladies-du-tissu-conjonctif-chez-l%E2%80%99enfant/syndrome-de-marfan
(5) https://www3.unifr.ch/apps/med/elearning/fr/bindegewebe/downloads/bg_print_f.pdf
(6) https://www.ameli.fr/assure/sante/urgence/pathologies/oedeme-quincke
(7) https://www.nexus.fr/wp-content/uploads/2022/02/Vaccine-expertise-GCP-CCotton-2022-01-11-French2-copyright_comp.pdf
(8) https://www.publicsenat.fr/article/parlementaire/effets-indesirables-de-la-vaccination-contre-le-covid-19-les-chiffres-de-l
(9) https://www.lanouvellerepublique.fr/tours/tours-l-equipe-qui-traque-les-effets-indesirables-du-vaccin-a-fait-six-annees-en-une
(10) https://france3-regions.francetvinfo.fr/occitanie/haute-garonne/toulouse/toulouse-le-centre-de-pharmacovigilance-sous-tension-depuis-le-debut-de-la-vaccination-contre-le-covid-2120845.html
(11) https://www.futura-sciences.com/sante/actualites/coronavirus-covid-19-myocardite-disent-chiffres-87573/
(12) https://seenthis.net/messages/938566
(13) https://www.vidal.fr/actualites/28433-vaccins-arn-m-et-troubles-menstruels-les-donnees-de-pharmacovigilance-francaises.html
(14) https://www.europe1.fr/medias-tele/droits-voisins-un-accord-historique-trouve-entre-google-et-lagence-france-presse-4077725
(15) https://www.niemanlab.org/2021/01/google-is-giving-3-million-to-news-orgs-to-fact-check-vaccine-misinformation/
(16) https://bourse.lefigaro.fr/indices-actions/actu-conseils/google-et-sanofi-creent-une-joint-venture-specialisee-dans-le-diabete-5716437
(17) https://www.lesechos.fr/2015/01/sequencage-de-ladn-pfizer-sassocie-a-une-filiale-de-google-241495
(18) https://www.lesechos.fr/2016/08/la-medecine-bioelectronique-le-pari-de-google-et-gsk-211657
(19) https://www.lactucitoyenne.fr/actualites/sante/big-pharma-on-a-eu-acces-a-des-contrats-biffes-cette-deputee-europeenne-denonce-l-opacite-des-labos-sur-les-contrats
(20) https://www.europe1.fr/sante/vaccins-plus-de-1000-dollars-de-profits-par-seconde-pour-pfizer-biontech-et-moderna-4077263

Paul Napoli

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