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« Dieu que la montagne est belle »

2 soldats nationalistes dans un poste avancé en pleine montagne et en plein hiver durant la guerre d’Espagne capturent une révolutionnaire polonaise. Un équilibre à trois se trouve peu à peu faisant vaciller les certitudes de chacun. « Ni rouge, ni blanc, ni rien ». Si « Dieu ne fait pas de distinction », chacun des membres du trio va trouver sa place « Tu ne sais pas cuisiner ! Pourtant tu es une femme ! » annonce Silverio. Vie, amour, pourraient s’écouler sans fin mais la guerre en a décidé autrement. Un film de contrastes des lieux (le blanc de la neige, la peine-ombre de la cabane en pierre) mais aussi des personnages (un paysan embrigadé de force, un séminariste et une révolutionnaire). « Etre Dieu : celui qui voit tout mais qui ne fait rien ».

KroleL
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le 8 nov. 2016

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Krole L

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