le 29 mai 2023
Orfèvre
Ce film argentin est merveilleux ! Son noir et blanc est onirique ! Son récit est si banal qu'il en devient poétique, les plans sont comme une succession de haïkus. Par ailleurs, les 73 minutes...
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Le titre du film est déjà un leurre puisqu'il ne concerne que le début du film, (l'épisode certes tragique du chien dure environ 20 minutes et donne lieu à des scènes laborieuses, qui traînent en longueur) le film se concentrant ensuite sur le maître endeuillé.
J'ai été frappé d'emblée par la piètre qualité de l'image noir et blanc. Les plans sont approximatifs, voire creux, et il y a un vrai problème de cadrage : Les personnages sont souvent filmés de trop loin, sans pour autant produire un plan large intéressant. Tout semble surexposé, les arrières-plans sont
systématiquement flous. La musique easy listening est franchement quelconque. L'insertion de dessins sont comme un aveu d'impuissance à filmer.
S'ensuivront des moments de vie du sus-nommé maître situés dans des espaces-temps différents ; la narration est éclatée, toute en discontinuité et parfois j'ai pensé que la réalisatrice nous donnait à voir des possibilités d'existences plus que la vie réelle. Las, ce personnage-caméléon, ballotté de plan en plan, changeant de rôle, d'époque, de fonction, finit par sérieusement ennuyer. Et encore une fois, comment peut-on rater à ce point des images ?
Créée
le 22 janv. 2022
Critique lue 86 fois
le 29 mai 2023
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