Le film débute à peine qu'il se paye l'arrogance de bruler la Mona Lisa, après du gunfight un peu long et un peu bof brièvement amené par deux répliques quasi incompréhensibles.
L'idée de départ, bannir les sentiments de l'homme pour enterrer les guerres et les travers sordides de l'âme. C'est une idée humaniste c'est vrai, au moins tout autant que ce qui en est sorti est tiré par les cheveux et aussi soporifique.
- Equilibrium - est en résumé la bien célèbre histoire du chat qui se mord la queue. Un récit qui suggère l'hypnose médicamenteuse afin d'éliminer le mal pour terminer de nous dire que c'est celui-là même qui bien malgré tout fait que l'homme est un homme.
Un film qui parle d'émotions en ayant pourtant un mal fou à les communiquer, et si enfin on se laisse charmer, c'est bien parc'que le scénariste à l'heure là, dit encore merci au compositeur de la bande originale.