Ernie Barbarash, égal à lui-même... Au début, on avait tendance à le défendre, quand la mode était à son équarrissage en règle sur les forums de cinéphiles mais là, on l'avoue sans peine, cela devient compliqué.
La partie "ethnique" du script aurait pu donner de l'intérêt à They wait (a.k.a.Evil game), en y amenant cette touche exotique du folklore coréen immigré au Canada mais tout sonne creux. Surtout l'héroïne qui joue comme une patate. Alors Ernie essaie de rattraper le tout en post-production, dans une surenchère d'effets ringards au possible. Lamentable.