le 21 déc. 2013
Bill Harford ou l'anti-Fidelio
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Kubrick adore apporter cette forme de frustration au spectateur à ne jamais être claire sur les messages de ses films, car pour lui l'explication tue l'expérience.
Rien ne doit être intellectuel, rien ne doit être manichéen, toute la valeur ne vient clairement que de l'idée que se fait le spectateur, que ce soit purement contemplatif ou libre à un sens choisi.
Je souhaite rattrapé mon retard mais pour être honnête avec vous, je n'ai vu que quelques film de Kubrick et je souhaite rattrapé mon retard vu que tout ce que j'ai pu voir jusqu'à présent m'a plu et ne m'a jamais laissé indifférent.
Ce que j'ai adoré aussi dans ce film, tout comme dans Pacifiction, c'est cette sorte de faux récit héroique où on nous présente un héros impuissant par rapport au désir de sa femme potentiellement pour d'autres hommes ou bien par rapport à une secte qui le dépasse où il essaie vainement de jouer les détectives alors qu'il comprends peu à peu que ça le met face à un danger bien plus grand que lui, sans appuie. ça dénote du block buster américain classique avec un héros aux failles risibles qui a le contrôle de renverser la situation, là c'est plus réaliste, parce qu'on peut facilement se mettre à la place de Tom Cruise, on se sent totalement à la merci du récit, sans savoir le destin qui nous attend face à notre affront d'arrogance face à une cause perdu, ici pas de karma, juste une contemplation sur les conséquences de nos actes.
Le film a bien d’autres atouts, mais inutile de les énumérer : je tiens à garder un minimum de mystère… et ma crédibilité ;)
Créée
le 24 août 2025
Critique lue 7 fois
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