Eyjafjallajökull par Bung
Alors l'idée de départ aurait pu être intéressante si seulement le reste avait suivi.
Ce qui n'est pas le cas évidement, les situations sont fausses et sont un étalage de facilités vues et revues, le jeu des acteurs est proche du néant, la lumière est moche - éclairage salle de bain d'un hôtel miteux (je m'excuse auprès des syndicats des hôtels miteux) tout le long.
Danny Boon, donc, fait mumuse avec ses jouets (Jaguar, avion de tourisme) et aurait dû rester ce qu'il est, c'est-à-dire un showman correct, ni plus ni moins. Aucun renouvellement de la comédie française n'est à espérer avec ce tas de boue.