La sécheresse d'une salvation dans l'enfer de l'ivrognerie

Escroquerie sur la marchandise, il n'y a ni feu, si on exclue le jeu de J. Gagney, ni gang, hormis une paire de truands générique face aux réels enjeux dramatiques du film. contentons nous alors du titre original.

Come Fill the Cup propose un Cagney looser, titubant jusqu'à aux derniers sou, avant d'être sauver par un homme de bien, J. Gleason. Ainsi nous aurions à traverser le calvaire d'un homme en sevrage et nous aurions eu une fable sur le rachat d'autrui et l'amitié masculine.

C'est parlé trop vite. Le film prend une autre tournure quand Cagney, devenue calife à la place du calife et faisant du vieux Gleason un majordome, aura à sont tour la charge d'assumer le rôle d'ange gardien/psychologue pour sauver G. Young, fils à papa qui se plaît à être un saoul perpétuel. Cagney s'appliquera de stratégie pour renverser cette tendance tout en se préservant de la femme qui l'aime, P. Thaxter, qui je vous le donne en mille, a épousé notre chère fils à papa, désormais cible de nos truands pour avoir trop fricoté avec une danseuse.

Regarder donc R. Massey, en magnat de la presse, exerçant sont pouvoir pour contraindre notre reporter-danseur préféré à sauver sont héritier de la dérive.

Ainsi donc Cagney ira se servir des anciens salariés réembaucher, aux passé problématiques avec l'alcool, pour retrouver notre fils à papa disparu - je rassure tout le monde, j'ai bien compris qu'il était seulement le neveu - jusqu'à même les envoyer dans des bars, où leurs risques de rechute est probablement accrue !?

Tout en ce portant garant de les redresser au moindre faux pas !

Voilà une mise en abîme intéressante des rapports de domination entre bourgeois où l'absence de considération des uns profitent aux autres.

Notons que le film donne la part belle aux corps médical, qui soignent notre héros au début et nous rappel à quel point une addiction ne s'arrête jamais vraiment.