La genèse d'un cinéphile (Spoiler)

(Début critique Fight club= 6ème paragraphe)

Pour comprendre mon affection pour ce film (blablabla tout est dans le titre), il faut remonter à l'époque où je regardais encore toutes les séries policières qui passaient sur M6 (la NCIS family, La EXPERTS family, elemantary, hawaii 5-0,...), le cinéma j'aimais bien ça mais pas plus que ça.

En ce temps-là, dans ma tête il y avait deux types de cinéma : le cinéma divertissant (le bon) et celui chiant (le mauvais). J'étais le mouton parfait de notre magnifique société :D prêt à avaler n'importe quoi venant d'elle si on me le servait bien.

Puis Nolan est entré dans ma vie,...
[AU MON DIEU un Fan Boy de NOLAN!!! ECOUTEZ mes frères ! Cet hommes est un enfant de Satan prenez garde à ne pas vous faire empoisonner l'âme par ses paroles hérétiques.]
Ah oui! il faut que j'en parle, depuis Interstellar et Dunkerque un débat sans fin est à l'oeuvre: d'un côté les fanboys de l'autre les haters,.. Ce qui me gêne c'est que dans le discours des haters on entend parler que de fanboys hardcore qui souhaitent évangéliser le monde à coup de toupie qui tourne néanmoins je suis bien un fan hardcore mais jamais je ne voudrais forcer quelqu'un à aimer Nolan. Donc foutez moi la paix ! JE M'EGARE DONC REPRENONS!
Ce qui m'a plu chez NoNo c'est l'originalité de ses œuvres et son perfectionnisme du travail du scénario, j'ai compris que pour faire un bon film il faut s'y impliquer à fond et travailler dur .

Désormais je m'égarais petit à petit des séries télévisées au vide créatif abyssal, pour évaluer la qualité un film j'utilisais le clichéomètre (compteur de clichés) eh bien j'avais encore tort car autant on pouvait plus ou moins l'originalité (et non la qualité) d'oeuvre de nos jours autant pour une oeuvre un peu plus vieille mon compteur s'affolait conclusion je n'aimais pas les vieux films. Mais j'ai tout de même compris qu'il y avait une certaine part de goût dans le jugement du fait que j'avais une préférence pour les films un peu plus intellectuelle scénaristiquement parlant.

De file en aiguille je m'intéressais aux séries plus originales et donc inévitablement Game of Thrones (comme je vis plus le cinéma de façon émotionnelle dsl mais je la préfère à Breaking Bad,... me frappez pas svp), cette série à éveiller en moi la soif du cinéphile, la soif de toujours plus de série et de films. Et puis j'ai regardé Fight club (p#t@\n c'était long) son visionnage à marqué un tournant de ma vie.

Comme d'habitude je laissais le compteur de cliché allumé et là bizarrement celui-ci ne s'agitait pas beaucoup, il ne me restait plus qu'à apprécier le film. (début spoilers)

Finalement, fight club c'est ma leçon de cinéma et un chef-d'oeuvre dommage que la règle nous interdit d'en parler.