La première règle de cette critique est : Tu ne parleras pas de cette critique.
Bonjour, Bonsoir, ou autre à tous!


Et aujourd'hui première critique d'un pion de l'humanité et non pas des moindres sur l'indétrônable Fight Club!
Pour commencer: Attention risque de spoil...


La deuxième règle de cette critique est : Tu ne parleras pas de cette critique.


Alors faisons ensemble un rapide tour des lieux bien que ce sera pour la plupart d'entre-vous inutile:
Fight Club -Le Film- sorti en 1999 réalisé par David Fincher. Le premier rôle-scindé est d'une part attribué à Edward Norton et dont l'autre moitié est interprétée par Brad Pitt qui, en partie grâce à ce film, réussi à tirer son épingle du jeu.
Ce film n'a eu que deux type de public: ceux qui l'on trouvé tout juste mythique jusqu'à parfois allé à le classer numéro 1 des meilleurs films vu (Je suis ici ^^) et ceux qui disent "Oui, bon, rien de bien folichon..."


La troisième règle de cette critique est: Si tu te sens important en ce monde alors regarde Fight Club.


Et oui! Ce film, véritable critique de cette société, à pour enjeu presque philosophique de la part de l'auteur -Chuck Palaniuk pour ne pas le citer- de vous faire comprendre que même si vous travailler dur, que vous rêver d'être une star de cinéma, une rockstar, une personne célèbre, connue, ou autre vous n'êtes rien de plus qu'un tas fait de chair et d'os mais qu'il est toujours possible de s'en sortir.


"Sur une ligne de vie assez longue la durée de vie de tout à chacun retombe à zéro." T.D.


La quatrième règle de cette critique est : Pas de haine, pas de rage, rien que lire, commenter, ignorer ou partager.


Le film peut paraître déboussolant, derrière cette critique de la société, nous suivons donc l'évolution d'un personnage sans nom souffrant d'insomnie, simple homme de bureau travaillant pour une compagnie de voiture au service des rappels, standardisé par une société de consommation dans laquelle il ne se retrouve pas. Cet homme au fond du gouffre -à cause de l'insomnie- fait la rencontre de Tyler Durden, un homme classe, intelligent, sociopathe, beau-garçon, bien-bâtis, dangereux, remplis de ressource, qui vend du savon pour "La Compagnie de Savon de Paper-Street". Ce Tyler Durden est tout ce qu'à toujours voulu être notre ami insomniaque et les deux vont très vite devenir d'excellent amis suite à moulte concours de circonstance.


La cinquième règle de cette critique est: Tu regarderas le film plusieurs fois et à chaque fois tu trouveras de nouvelles choses.


"Tu dois accepter qu'en toute probabilité Dieu ne t'aime pas et ne t'as jamais aimé." Tyler


Toute l'intrigue du film repose sur l'évolution de ces deux personnages, mais dès le départ vos yeux vous diront que quelque chose cloche avec ce film. Le réalisateur à fait un travail remarquable et le film reste bien fidèle au livre (à plusieurs exceptions prêt) pour nous le montrer depuis le point de vue exclusif de notre ami insomniaque. C'est à environ une demi-heure de la fin qu'une des plus grosses intrigues prend fin: celle du lien étroit entre Tyler Durden et notre bureaucrate en manque de sommeil.
A ce point du film, le fight club, qui s'est extrêmement bien développé grâce à Tyler, est devenu un groupe de pseudo-terroriste (qui ne tuent personne) ayant pour but de "purifier" le monde de toute cette "merde" qui la compose. Ce groupe agis sous les ordres exclusifs et IRREVERSIBLES de Tyler.


La sixième règle de cette critique est: Tant que la critique n'est pas terminée, tu dois la lire.


"On en a rien à foutre de sa damnation ou d'sa foutue rédemption! On est les enfants non désiré d'dieu?! Très bien!" Tyler.


Revenons sur nos moutons, Fight Club est pour moi un véritable chef d'oeuvre cinématographique et n'a clairement pas volé sa première place à mon sens.
Je l'ai déjà visionner une dizaine de fois, la première fois il m'a littéralement collé une grosse claque, les fois d'après il a continuer de me gifler gentiment en me montrant des éléments subjectif et subliminaux auxquels je ne faisait pas spécialement attention.
Source d'inspiration faisant énormément réfléchir tous ceux qui le veulent, Fight Club est un film à dévorer pour tous ceux qui n'on pas d'aversion envers les films qui veulent vous montrer autre chose qu'un divertissement.


La septième règle du fight club est: Tout les détails d'une critiques sont important, ne l'oublie jamais.


"Il s'appelle Robert Paulson!!" Membres du Projet Chaos en chœur.


Schizophrénie, baston, enjeux sociaux, politiques, économiques, mondiaux, le destin de l'humanité, le sens et le poids de la vie et bien d'autres encore.
Ce sont tous, des points abordés par le film. Chaque point est étudié en détail et vous pousse à approfondir le sens, le poids et l'importance de ces points.

MoïseArcadia
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le 29 août 2015

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Moïse Arcadia

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