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Purgatory.
Sept ans après avoir terrorisé le monde entier avec son adaptation du best-seller de Stephen King, The Shining, Stanley Kubrick s'attèle à un autre genre, celui du film de guerre, qu'il avait déjà...
Par
le 5 janv. 2017
62 j'aime
7
Mon cul, je n'entend rien ! Montrez-moi que vous en avez une paire !
Full Metal Jacket de Kubrick. Ca pose de suite le niveau. Ca titille la curiosité, ça excite nos yeux et réveille nos oreilles.
Mais qu'en est-il vraiment ?
Héééé bien c'est simple ! La première partie est....aucun mot ne peut décrire cette fantastique partie de 45 minutes. C'est scotchant ! De la scène d'introduction jusqu'aux conséquences effroyables de la formation, Kubrick délivre une partie parfaite. Sans erreur.
Le script, les dialogues, la caméra, les acteurs sont géniaux. Cette scène d'ouverture n'est pas culte pour rien.
En montrant l'entrainement que reçoivent les marines américain, Kubrick dénonce la fanatisme militaire et les possibles conséquences graves sur les soldats.
Et c'est 45 minutes peuvent être vu seule, limite pas besoin d'aller plus loin parce que la seconde partie est plus conventionnelle, moins prodigieuse, les décors ne sont pas époustouflant, seule quelques scènes sont très immersives. Cette partie n'a d'intérêt que par son côté "instrusive" dans la quotidien des soldats, les putes, la haine du Viet, etc.
Pas besoin de commenter la BO, c'est toujours parfait avec Stanley.
Ca vaut 10 pour la première partie, 6 pour la seconde, ce qui fait 8 de moyenne et une chaude recommandation.
Mais sincèrement, cette scène d'ouverture est certainement la meilleure : Baleine, Cowboy, Hartman, Guignol, c'est fantastique. Les dialogues sont justes...indescriptibles tellement c'est riche.
C'est ce qui fait de Kubrick un gars unique, une écriture formidable et d'une richesse incomparable.
Une petite formation made in Hartman :
"Qui a dit ça ? Qui est le tordu qui a dit ça ? Qui est l’infect petit poil perdu, l’espèce d’enculé de communiste qui vient de signer son arrêt de mort ? … C’est personne hein ? C’est votre marraine de mes couilles, hey ? Ah foutre de foutre, vous me ferez du parcours à en crever la gueule ouverte !! Vous me ferez du parcours à en téter du p’tit lait par le fion… Alors ça vient de toi, charogne de p’tit salopard ?!".
En anglais ou en français, tout cela est savoureux !
Mais qu'en est-il vraiment ?
Héééé bien c'est simple ! La première partie est....aucun mot ne peut décrire cette fantastique partie de 45 minutes. C'est scotchant ! De la scène d'introduction jusqu'aux conséquences effroyables de la formation, Kubrick délivre une partie parfaite. Sans erreur.
Le script, les dialogues, la caméra, les acteurs sont géniaux. Cette scène d'ouverture n'est pas culte pour rien.
En montrant l'entrainement que reçoivent les marines américain, Kubrick dénonce la fanatisme militaire et les possibles conséquences graves sur les soldats.
Et c'est 45 minutes peuvent être vu seule, limite pas besoin d'aller plus loin parce que la seconde partie est plus conventionnelle, moins prodigieuse, les décors ne sont pas époustouflant, seule quelques scènes sont très immersives. Cette partie n'a d'intérêt que par son côté "instrusive" dans la quotidien des soldats, les putes, la haine du Viet, etc.
Pas besoin de commenter la BO, c'est toujours parfait avec Stanley.
Ca vaut 10 pour la première partie, 6 pour la seconde, ce qui fait 8 de moyenne et une chaude recommandation.
Mais sincèrement, cette scène d'ouverture est certainement la meilleure : Baleine, Cowboy, Hartman, Guignol, c'est fantastique. Les dialogues sont justes...indescriptibles tellement c'est riche.
C'est ce qui fait de Kubrick un gars unique, une écriture formidable et d'une richesse incomparable.
Une petite formation made in Hartman :
"Qui a dit ça ? Qui est le tordu qui a dit ça ? Qui est l’infect petit poil perdu, l’espèce d’enculé de communiste qui vient de signer son arrêt de mort ? … C’est personne hein ? C’est votre marraine de mes couilles, hey ? Ah foutre de foutre, vous me ferez du parcours à en crever la gueule ouverte !! Vous me ferez du parcours à en téter du p’tit lait par le fion… Alors ça vient de toi, charogne de p’tit salopard ?!".
En anglais ou en français, tout cela est savoureux !
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Écrit par
Cet utilisateur l'a également ajouté à ses listes Club FTF (Fourre Tout Films), Vus : Edition 2014 (sans Mrs Fox), Les meilleurs films de guerre, 35 monuments : de classique en classique et Marathon Kubrick
Créée
le 10 juil. 2014
Critique lue 512 fois
8 j'aime
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