Des retournements de retournements abjects, invraisemblable jusqu'au risible. Seule la première heure est supportable (et encore, les dialogues frôlent le ridicule.)
Et puis bien sûr, la méchante femelle hystérique vole le sperme d'un pauvre mâle sans défense, se frappe elle-même avec un marteau et s'auto-enfonce des trucs dans la vulve pour faire croire qu'elle est battue ou violée, etc. Quelles attention-whores psychopathes, ces soi-disant victimes de violences conjugales, tout de même!
Mais bon, comme on a la caution "notre réalisateur est un grand critique des médias à l'américaine", tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes, n'est-ce pas?

Comment cette daube a t-elle pu être encensée par la critique?
panorama
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le 30 janv. 2015

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