Le Plaisir ? Le Désir ? La Nuit ? Non, ne cherchez pas, il n'y a rien de tout cela.

[CRITIQUE V2.1 moins énervée]


La première fois que j'ai vu Histoire de ma mort d'Albert Serra en 2016 et en DVD, mes attentes autant que ma déception furent si grandes que je fis une critique à chaud très énervée et digne d'un non-cinéphile et d'un inculte ne comprenant rien aux codes de films indépendants.


Heureusement, avec le temps, après des visionnages d'autres films indépendants et grâce aux conseils avisés de @Thenuke, j'ai rangé ma colère de côté pour faire une critique plus objective du film ...


Mais impossible même ainsi d'aimer objectivement Histoire de ma mort, prié par certains comme un film indépendant intelligent et anticonformiste voire même comme "l'anti-cinéma" par excellence. Ce pour trois raisons principales :



  • 1) cette œuvre d'Albert Serra a beaucoup de potentiels gâchés pour
    les sujets abordés ;

  • 2) il y a un décalage entre la promotion du film et les intentions
    réels de l'auteur, ce qui ruine sa crédibilité ;

  • 3) l'exécution du film, notamment son rythme lent, ne permet pas à
    d'apprécier pleinement Histoire de ma mort



La mort surnaturelle de Casanova : un potentiel gâché



Le titre du film de Serra s'inspire de Histoire de ma vie de Giacomo Casanova (1725-1798). Ayant étudié l'Histoire, je ne connaissais cependant pas grand-chose de Casanova à part qu'il est inventeur de la loterie, qu'il a été dans les geôles de Venise et qu'il est réputé séducteur invétéré. Le DVD du film prétendait offrir une vision intéressante de la fin de vie du personnage historique mais en le transposant dans la Transylvanie pour y rencontrer Dracula.


J'ai eu effectivement de trop grosses attentes en lisant cela en effet. Car même si je ne m'attendais pas à un Dracula de Francis Ford Coppola, ou même à un Entretien avec un vampire mais un philosophe mettant à profit son expérience des prisons de Venise pour échapper à la domination d'un Vlad Teppes, c'est fort dommage que le film de Serra n'ait pas essayé d'être un Barry Lyndon (un peu croisé avec Shining) de Stanley Kubrick.


Car le film, du moins la jaquette du DVD, promettait la déchéance d'un homme mondain à la fois terrassé par sa propre vanité, ses excès et par l'ire du noble monstrueux et maléfique Dracula - vestige de la noblesse dans une Europe secouée par La Révolution. Après tout, l'on nous disait que :



L'univers mondain de Casanova s'écroule, le règne de Dracula est venu.



Bien sûr, étant un film indépendant, ses moyens sont limités et c'est normal qu'il ne puisse pas offrir autant. Mais voir ce film être autant couvert d'éloges quand on voit le peu qu'il offre laisse sur sa faim.


Le réalisateur castillan indépendant aurait pu aussi très bien proposer quelque chose de similaire au Casanova de Fellini, racontant les "aventures" du personnage éponyme dans une Venise en plein festival baroque, même avec ses moyens du bords. Ou encore, pour être plus dans le registre cinéma indépendant avec du symbolisme et peu de moyens : faire comme Careful de Guy Maddin (un film de drame et de fantastique quoique se passant dans les Alpes).


Hélas, le film offre très peu dans les faits, si ce n'est tantôt de longues scènes se voulant nonchalantes mais dans le fait ne racontant quasiment rien (et les rendant donc ennuyeuses). Et tantôt des scènes plus spontanées mais aussi trop aléatoires, impliquant un Casanova assez loin de l'image qu'on se fait de lui, un Dracula anecdotique au final, une femme vampirisée inutilement (?) revancharde et floppées de personnages secondaires eux-aussi plus figurants oubliables. Le tout dans des décors et paysages mais avec peu de personnalités (en tout cas, pas celle de Serra).


Histoire de ma mort est le 4e film de l'auteur et le rythme est son principal défaut. Son film suivant La Mort de Louis XIV a un rythme similaire mais dans le but d'instaurer une ambiance mortifère plus appropriée au sujet (l'agonie d'un roi absolu au final humain comme les autres).


Ici, hélas, la mort annoncée de Casanova ne transparaît jamais sauf à la toute dernière minute du film en toute spontanéité malvenue pour clore un film déjà trop long mais rendant donc l'expérience des plus décevantes.


Après avoir discuté de milles et un sujet dans son manoir, Casanova part spontanément sans raison explicite (et sans rapport avec le début) en Transylvanie s'installer chez deux filles du pays. Mais ces dernières sont abordées par Dracula qui les corrompt. Elles virent méchantes mais il n'y a plus d’interactions avec Casanova, qui se fait tuer par morsure de Dracula sans jamais avoir eu de scènes avec lui auparavant. Juste comme ça, gratuitement, et c'est globalement le résumé du film. Le reste n'est que longues scènes pour meubler.


Comme je l'avais déjà, c'est bien loin des promesses de la jaquette du DVD du film, dont on peut conclure que la promotion a cherché à enjoliver à l'extrême un film qu'elle savait qu'elle n'avait en fait trop peu à offrir. Et je pense que cela dessert le film car le fait passer pour le cliché du pseudo-artiste et pseudo-intellectuel cherchant à vendre une "Toile Pour Pigeon à 10 000 €" ou de "l'art invisible" fantasmé par les misomuses.


Or, on peine à croire que le film de Serra pourrait être avant tout esthétique et probablement sans but ou message précis derrière. Car non seulement l'esthétisme est assez faible (plus que les personnages nonchalants), et on se rend compte après vérification que Serra n'offre pas un discours ou des idées fixes dans son film d'où cette exécution qui semble assez morne car à priori aléatoire.



Décalage entre promotions du film et intentions réelles de l'auteur



Si le discours comme quoi l'art n'est pas censé avoir un but ni être forcément beau revient en force ces derniers face à la misomusie (qui veut que l'art soit assujetti à un but au-delà de l'esthétique selon Milan Kundera dans L'art du roman), hélas le film de Serra ne peut pas considérer comme une bonne référence en matière indépendant car lui-même semble avoir vendu des buts différents, contradictoires voire même hors-sujet par rapport à l'exécution.


Peut-être que Serra n'avait pas d'idées fixes mais juste des "pulsions" ou des envies aléatoires et qu'il voulait faire un film avec, mais était-ce donc bien approprié de vendre le film comme ayant un but précis si c'était bien le cas ?


Je rappelle que le film a été résumé et présenté des façons suivantes :


1) Wikipédia :



La Mort, vue par Casanova et Dracula.



En réalité, même s'il y a bien deux morts à l'écran (Casanova et son serviteur), dans les faits, le discours sur la mort est assez faible ou alors de moindre importance. Casanova se rend certes compte qu'il est vieux et se ressasse ses accomplissements au début mais il ne parle pas tellement de la Mort.


Dracula, étant la figure du Mort-Vivant certes, parle effectivement vaguement de l'immortalité d'être vampire mais son discours semble plus être de celui qui veut convaincre quelqu'un de le rejoindre pour assouvir des pulsions sadiques et dictatoriales. La Mort lui semble plutôt indifférente.


De plus, vue la spontanéité de la mort peu annoncée du personnage de Casanova, le film sur ladite mort porte donc en fait plus sur celle avec une minuscule que réfléchissant sur la Mort avec une majuscule.


De surcroit, il n'y a pas d'autres interactions entre Casanova et Dracula, autre que la très courte scène de fin sans discussions. Le résumé de Wikipédia est donc d'autant plus faux car il sous-entend qu'il y a un échange ou un débat entre les deux à ce sujet, chose qui n'arrive pas.


2) Capricci, producteur, distributeur et éditeur de cinéma :



Casanova rencontre un nouveau serviteur qui sera le témoin des
derniers moments de sa vie. Il quitte un château suisse aux ambiances
galantes et libertines typiques du XVIIIe siècle et passe ses derniers
jours dans les terres pauvres et sombres de l’Europe septentrionale.
Là-bas, son monde de légèretés et de mondanités ainsi que sa pensée
rationaliste s’effondreront face à une force nouvelle, violente,
ésotérique et romantique représentée par Dracula et son pouvoir
éternel.



La seconde phrase est assez fausse : à aucun moment Casanova n'est venu chercher dans le film des "mondanités"' en Europe septentrionale, et il n'use guère de sa "pensée rationaliste" avec les femmes du pays citées plus tôt, ni face à Dracula.


Étant donné qu'il n'a avec les femmes que des rapports sexuels (au point de péter une fenêtre puis de caresser les autres fenêtres après, ce qui est probablement symbolique ou juste pour la déconnade), et que son rapport avec Dracula n'est autre que de se faire mordre à mort.


En revanche, Dracula est bien une "force nouvelle, violente, ésotérique et romantique" et représente aussi un "pouvoir éternel" malgré son peu de temps à l'écran. Et comme il arrive à convaincre deux femmes de Transylvanie de se rebeller contre leur père gratuitement et de tuer le serviteur de Casanova, cette définition fonctionne bien.


Mais ce n'est pas la "pensée rationaliste" de Casanova qui échoue mais plutôt son corps face à Dracula.


3) Télérama :



Vieillissant, Casanova, grand séducteur devant l'éternel, a perdu de
son aura et est en train de vivre la dernière partie de sa vie. Il
engage Aimé, un nouveau serviteur dévoué et entreprend un voyage vers
les Carpates, dans les terres pauvres et sombres de l'Europe
septentrionale. Habitué à davantage de luxe et surtout à côtoyer les
puissants, Casanova subit un vrai choc esthétique et culturel quand il
arrive dans un village où sévit l'obscurantisme. Il y fait une
rencontre incroyable. Il croise le mythique Dracula, alors que
celui-ci est censé être une légende. Le choc est violent entre le
monde des Lumières et celui des Ténèbres...



En réalité, Casanova ne subit aucun "choc" à voir les Carpates ou alors l'acteur jouant le personnage est très mauvais à le montrer : il me semblait plutôt fasciné devant cette société septentrionale, véritable dépaysement de la sienne.


Quant à "l'obscurantisme", à part qu'une des filles croisées par le héros se plaint que son père est "trop chrétien" (alors que ce dernier n'a aucun développement de personnage autre qu'avoir un regard vide et même pas inquisiteur), rien n'y transparaît.


Casanova ne croise jamais Dracula, mais il y a bien une "confrontation" entre les Lumières et les Ténèbres : il y a une scène où des Transylvaniens découpent le cadavre d'une vache en pleine nuit. On peut sous-entendre que c'est une offrande pour apaiser Dracula ou juste que Serra voulait filmer un séchage de viande. Sinon, il y a bien un monde des Lumières nonchalant, et des "Ténèbres" violentes. Mais c'est tout ...


4) Albert Serra lui-même dans un entretien avec Art Press :


Le réalisateur lui-même admet qu'il voulait adapter le Dracula de Bram Stoker mais y avoir renoncé car il trouvait ça "trop ennuyeux" (un comble vu l'ennui procuré par le film), puis avoir voulait rajouter Casanova dans une même histoire sans trop savoir pourquoi à part que les deux personnages ont pour points communs "le plaisir, le désir, la nuit".


Alors si le plaisir et le désir sont bien ressentis dans ce film, pour ce qui est de la nuit c'est encore un sujet qui peut fâcher car un film se passant partiellement de nuit n'en fait pas pour autant un film sur La Nuit (d'autant que son Dracula apparaît presque en plein jour et la Nuit ne semble ni son domaine ni celui de ses vampirisées). Sans compter cette scène du début où des gens attablés pour un dîner en Europe occidental ont l'air de beaucoup s'ennuyer malgré le climat relax et nonchalant voulu.


C'est après que Serra a donné les autres vrais thèmes de Histoire de ma mort qui, je pense, auraient dû être mieux exploités par les promoteurs du film et les fans du réalisateur :



« C’est un film sur la beauté de l’horreur mais aussi sur l’horreur
de la beauté », une observation très belle et intelligente. Mais je
l’ai poussée plus loin, dans la mesure où je pense que c’est un film
sur l’injustice de la beauté, mais aussi sur la beauté de l’injustice.



Si le film avait été beaucoup plus vendu là-dessus, aussi abstraites ou non soit cette intention, le film aurait gagné non seulement en visionnage mais aussi en renommée à mes yeux. Car cette "injustice de la beauté" et cette "beauté de l'injustice" se ressentent mieux dans le film de Serra, même si moi-même j'aurais plutôt parler de "tyrannie de l'Amour" et "d'amour de la Tyrannie".


Car Casanova est un peu sujet à la tyrannie de l'Amour (il se laisse aller à des pulsions) et à l'injustice de la beauté (il est vieux mais encore bien conservé, mais les femmes lui préfèrent au final le moins esthétique Dracula car il dégage "plus" de virilité et est un tyran charismatique).


Et les femmes des Carpates eux-mêmes se laissent séduire par le vampire et vont basculer dans le sadisme et la violence par pure envie de satisfaire des pulsions violentes contre leur entourage :


Elles tuent le domestique de Casanova sur un simple désaccord, et fouettent leur père à mort pour des prétextes fallacieux (une scène qui a servi à la promotion du film, je le rappelle).


Le problème du film serait donc plus une incohérence à cause de la promotion loupant à moitié le message de l'auteur du coup et portant le réalisateur sur un piédestal alors que le résultat final n'a pas grand chose à voir avec ce qu'on a vendu. Il paraît alors décevant et chaotique.



Une vague d'ennui teintée de remous laissant dans l'incompréhension



J'ai déjà abordé le problème du rythme ou de "l'énergie" du film alors cette partie sera rapide. Tout au plus, je vais revenir sur deux ou trois scènes.


En effet, le principal défaut de Histoire de ma mort est sa façon de meubler : majoritairement des scènes à plans fixes parfois contemplatifs. Hélas, ces plans s'étalent trop inutilement en longueur et laissent le spectateur en plan.


Et quand il ne s'agit pas de ce genre de scènes nonchalantes, on a des visions qui paraissent décalées et étranges tellement elles cassent le rythme déjà fort ennuyeux. Et ceci peut laisser certains spectateurs perplexes au point que je pense que Serra aurait dû rajouter par ci-par là un narrateur voire même ses commentaires en voix off pour donner son interprétation. Par exemples :


1) Au début, après avoir présenté Casanova comme étant de l'élite des Lumières ou du loto, le film tranche en le présentant ... tout fier en montrant ses déjections à son domestique. Peut-être que Serra voulait montrer "un autre jour" de Casanova, ou le désacraliser ... ou peut-être qu'il a fait au pif, on ne saura jamais.


2) Quand Casanova et son domestique vont en Transylvanie, après moults présentations de Transylvaniennes et scènes soporifiques, soudainement la musique devient plus dynamique tout ça pour ... éclairer un pot de cendre. Seraient-ce symboliques ou les cendres de Dracula ? ... Nah, c'est juste un pot de cendre sans importance. Personnellement, cette scène m'a mentalement torturée tellement elle sortait de nulle part au premier visionnage.


3) Casanova fait l'amour avec une des Transylvaniennes, casse une fenêtre par accident pendant l'acte ... et mime l'acte sexuel avec une autre fenêtre. Bon techniquement, c'est un peu le genre qu'on attend de Casanova. Toutefois, ça fait pouffer de rire tellement c'est ridicule car en contradiction avec le côté calme et posé du personnage vu précédemment. "Ô fenêtre, on ne se quittera plus jamais."


4) Après que les Transylvaniennes rejoignent le côté obscur avec Dracula, fouettent leur père sans raison et tuent le domestique de Casanova, ce dernier est tué par Dracula ... sans avoir eu au préalable une scène d'échange avec lui (même pas une scène où il se fait attaquer). Serra et l'équipe créative semblait en avoir marre et on dirait qu'ils ont voulu bâcler la fin avec un ellipse suivie d'une fin abrupte. C'est dommage car de meilleurs enchainements auraient pu être faits suite à la cruauté à priori gratuite des Transylvaniennes.


Le film se termine sur la mort très subite, sans profondeur et sans drame de Casanova (au mépris de la réalité historique mais là n'est pas le plus important). Après de longues scènes soporifiques et d'autres juste étranges, cela a beaucoup de chances de frustrer le spectateur, y compris celui qui ne s'attendait à rien. Il faut vraiment connaître le travail de Serra pour s'attendre à ce genre d'expérience bizarre.



En conclusion



Bref, Histoire de ma mort avait des idées intéressantes abstraites qui auraient pu fonctionner à mes yeux mais s'avère au final brouillon, ne sait pas ce qu'il veut être (d'où le décalage entre les promoteurs et le réalisateur du film), et son côté mi-soporifique mi-surprenant n'en fait pas un film indépendant à mettre sur un piédestal. Le résultat est trop chaotique voire incohérent avec lui-même pour être appréciable.


Le film de Serra est selon moi trop surestimé et aurait dû prendre des directions plus claires : soit un film sur Casanova, soit sur Dracula ou même une vraie confrontation entre les deux (physique ou philosophique, peu importe) et non ce mélange sur une simple extrapolation à la base avec une mollesse inadaptée. Car ceci fait que du trio Plaisir/Désir/Nuit, le Plaisir est clairement absent ...

darevenin
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le 5 avr. 2022

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darevenin

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