C'est en toute connaissance de cause que j'avais décidé, l'autre jour, de regarder Hole in One. C'est-à-dire : en ayant lu la critique postée ici par NicoBax, qui mettait pourtant en garde contre la torpeur que ne manquerait pas de susciter ce Direct To Video commis en 2009 par un certain Drew Ann Rosenberg.


En effet, quelle bouse ! Les aventures d'Eric, un « étudiant » particulièrement doué pour le golf, qui gagne sa vie en arnaquant des pigeons sur les parcours, n'ont rien de bandant. Lorsqu'il se retrouve affublé, au terme d'un pari perdu face à deux chirurgiens esthétiques retors, d'une paire de seins, le jeune homme touche le fond. Le film aussi...


Rien, dans cette "comédie" labellisée "spin-off d'American Pie" par les distributeurs, ne vient tirer le téléspectateur de l'ennui. Entre scénario pourri et interprétation déplorable, ce Hole in One est une daube consternante. Et puis, y a pas tant de nichons que ça.

mazthemaz
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le 16 sept. 2016

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