1
Détestable
Alors bon il y a quelques incohérences, une bonne vingtaine de facilités de scénario durant les Hungers Games (un peu le même jeu que celui de Battle Royale), une bêtise assez constante, un final...
Par
le 24 mars 2012
194 j'aime
57
Nous rencontrons des problèmes techniques sur la partie musique du site. Nous faisons de notre possible pour corriger le souci au plus vite.
Maintenant c'est sûr, je suis trop vieux pour ces conneries
Manifestement, je ne rentre plus dans la cible de ces romans pour ados.
Hunger games décrit une sorte de régime monarchico-totalitaire, dominé par une minorité qui tient son peuple cloisonné dans des districts, vivant dans une misère totale.
Seul espoir de sortie: la participation à cette mise à mort façon télé-réalité pour haranguer les foules, où chaque enfant vient chercher une vie meilleure, ou la mort.
Ce pitch plutôt ambitieux est malheureusement ruiné par une mise en scène tantôt plate, tantôt brouillonne pendant les séquence d'action(fucking Shaky Cam!).
Je ne parle même pas des costumes et maquillages, car l'univers créé est dans sa globalité très laid.
La trame est très très convenue, alors que reste t-il ?
Malgré les péripéties en mode automatique, ça se suit sans déplaisir, rehaussé par moment avec les bonnes apparitions de Donald Sutherland et Woody Harelson.
Hunger games décrit une sorte de régime monarchico-totalitaire, dominé par une minorité qui tient son peuple cloisonné dans des districts, vivant dans une misère totale.
Seul espoir de sortie: la participation à cette mise à mort façon télé-réalité pour haranguer les foules, où chaque enfant vient chercher une vie meilleure, ou la mort.
Ce pitch plutôt ambitieux est malheureusement ruiné par une mise en scène tantôt plate, tantôt brouillonne pendant les séquence d'action(fucking Shaky Cam!).
Je ne parle même pas des costumes et maquillages, car l'univers créé est dans sa globalité très laid.
La trame est très très convenue, alors que reste t-il ?
Malgré les péripéties en mode automatique, ça se suit sans déplaisir, rehaussé par moment avec les bonnes apparitions de Donald Sutherland et Woody Harelson.
5
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Créée
le 15 sept. 2012
Critique lue 369 fois
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