Pas grand chose à ajouter ; la bobine se déroule et c’est plaisant observant les deux héros se débattre dans l’errance de leur destinée ; englués chacun dans leurs appartenances professionnelles, religieuses, culturelles et familiale. Dans la fratrie de Casim, la liberté gagne du terrain. Le procèssus est lent, tout comme le film, pour le bonheur du spectacteur.
Peut être ajouterais je du mal à finir, peut être envie d’une autre fin.
Créée
le 25 févr. 2024
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