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Final cut.
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Tandis que le premier misait sur une surabondance d’action énergique et vigoureuse, le second fait plus dans une tension des plus sagaces qui s’incarne dans une certaine loquacité approfondissant la psychologie des antagonistes. Ce dont je raffole chez Quentin Tarantino, c’est quand en plein climax, il digresse complètement pour par exemple laïusser sur Superman. Les scènes impliquant la fille de l’héroïne sont fort attendrissantes avec l’euphémisme comme quoi elle aurait dormi. L’œuvre n’oublie pas d’être cocasse avec le maître chinois truculent.
8
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Créée
le 31 mars 2024
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