Kuzco 2 : King Kronk par Aurélien Boucher

Kronk, le complice d'Yzma dans l'opus précédent, travaille désormais comme cuisinier au restaurant du coin. Il a tout pour être heureux, sauf un foyer avec femme et enfants. Il apprend que son père veut lui rendre visite... Problème : celui-ci risque de s’apercevoir que son fils n’est toujours pas "installé". Kronk va tenter de trouver des solutions, mais pour ceci, il dispose de très peu de temps.

5 ans après le premier film, c'est le studio DisneyToon qui se charge de faire une suite DTV, centré cette fois ci sur le personnage comic relief du premier opus Kronk, et il s'agit d'une suite "3 histoires en un".

Ce KUZCO 2 est un dessin animé passable, ce n'est pas le "meilleur" de DisneyToon, mais c'est très loin d'être le pire, et il s'agit de la meilleure suite "3 histoires en un", même si ce n'est pas vraiment compliqué vu la qualité des autres.

Ce dessin animé qui se passe après le premier film sur Kronk qui apprend que son père qui n'a jamais été fier de lui veut lui rendre visite, et Kronk raconte deux de ses aventures pour montrer qu'il a échoué à être installé.

Le personnage de Kronk reste fun et attachant, avec un bon petit développement émotionnel où il cherche à avoir la reconnaissance de son père. Mis à part ça, les histoires ne sont pas vraiments intéressants. L'intrigue où il va en aide à des handicapés, avec en plus le retour Yzma qui cherche à entourlouper tout le monde pour prendre le trône est correcte, la deuxième avec la compétition entre lui et une femme (qui va devenir sa bien-aimé) avec leurs équipes d'enfants l'est beaucoup moins, surtout avec un drame romantique forcé à la fin du segment qui n'est pas crédible, pour que tout se règle à la toute fin.

Après, le tout reste une comédie déjantée qui reprend le style du premier film, ce qui rend le film assez fun à suivre, bien que le tout soit beaucoup moins inspiré vu que ça ne fait que copier son ainé.

Après l'animation est correcte.

Une suite correcte et fun, bien que très inférieur à son modèle.