Ce vieux nanar américo-italien des années 60 est sans aucun doute l’ancêtre de cette merveille du grand écran à base de popopopop et d’humour décalé.
L’espion qui venait du surgelé est une parodie de James Bond sur fond de guerre froide. Une intrigue un semblant sérieuse (un méchant très méchant qui veut dominer le monde en éliminant dix généraux de l’OTAN), des méthodes complètement absurdes (des engins explosifs improvisés sous forme de belles femmes plantureuses à maillot de bain doré) et deux gentils débiles qui vont tout faire foirer.
Méga like pour l’accent italo-ricain du chef de la CIA.