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Chef-d'oeuvre franchouillard
Oui, Veber ne peut pas s'empêcher de nous coller une intrigue mafieuse nanardesque (et il fait que des buddy movies, il sait rien faire cet homme-là, alors). À chaque apparition du truand...
le 18 nov. 2010
33 j'aime
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Le monde selon François Perrin.
"Sept ans de malheur ! Oh putain !"
Plus rien ne fonctionne comme cela devrait fonctionner.
La logique d’un ensemble de faits s’écroule au profit de nouvelles règles en rotation autour de la prestation pratiquement ininterrompue d’un lunaire imprévisible et présomptueux, inconscient des cataclysmes qu’il déclenche.
L’ordre des choses démantelé par sa propre antinomie par monts et par vaux constitué de gamelles perpétuelles et de recadrages épuisants tentant avec difficulté de canaliser les comportements imprévisibles et incontrôlables d’un cobaye lâché dans la nature.
Dont le but est de valider dans un état second et en tout lieu, les préceptes d’une nouvelle théorie, consistant à atteindre un objectif en se servant pour cela de manière presque simultané de son expansion et de son effondrement.
La théorie tant recherchée, un seul moule assurant la vitalité d'une aventure menant vers une réussite ne pouvant s’opérer qu’à l’aide de son échec ceci dans un paysage complètement remodelé par toute la cacophonie qu’il endure de la part d’un illuminé persuadé de détenir la science infuse.
Fluctuations temporelles désordonnées s’emparant d’un évènementiel modulé par le comportement d’un malchanceux opérant une transformation radicale sur chaque portion de son environnement.
Le monde selon François Perrin, le désordre fabriquant curieusement de l’ordre ou l’on avance vers la lumière en étant constamment sur le flanc.
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le 12 déc. 2021
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