Ce qui fait la force du film de Meirelles, n'est pas tant sa mise en scène acidulée et nerveuse, ou sa plongée, dépaysante, dans l'histoire de la violence des Favelas de Rio. Non, sa force, finalement, est de répondre parfaitement aux canons du film d'apprentissage de voyou. De faire le "Il était une fois en Amérique" de Rio, avec ses excès et en répondant à toutes les attentes. Comme souvent, dans les films archétypaux, le spectateur se révèle parfaitement satisfait.

hubertguillaud
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le 18 janv. 2018

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