La Femme la plus Assassinée du Monde est le premier film de Franck Ribière (scénariste et producteur de Á l’intérieur et plusieurs films d’Alex de la Iglesia), qui orchestre cette plongée fascinante dans le Paris des années 30, gothique à souhait, aussi flamboyant qu’outrancier, voire grotesque. Une ambiance de tableaux animés soutenue par Laurent Barès, qui exerce une fois de plus ses talents de directeur de photo. Le film raconte l’histoire vraie de Paula Maxa, performeuse de théâtre Grand Guignol, dont la vie est ôtée des milliers de soirs durant. Personnage romantique par essence, indépendant et rebelle, Paula Maxa est un rôle en or pour Anna Mouglalis, qui se frotte ici à un pur film de genre, s’inspirant d’une célébrité des Années folles pour bâtir un véritable mythe autour d’elle.
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