Rien de tel que la mer et un voilier (qui ressemble terriblement à celui de Pandora...) pour servir de supports aux projections de l'imagination et d'écrin au surnaturel...
La rudesse du second Burns en proie à la fièvre et au charme maléfique d'un mort semble sur ces eaux ensorcelées par le calme un miroir du style de Franju : un mauvais œil combattant un autre mauvais œil, un vivant luttant contre un mort laissé en mer mais aux "commandes de son navire"...
Autre miroir inversé : les rencontres étonnantes avec les jumeaux Jacobus et leurs enfants respectifs...