On l'appelle la pègre, alors qu'ils ne sont que canailles, essayant de tirer leurs épingles d'un jeu que nous ne soupçonnions pas en Corée
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Créée
le 1 avr. 2021
Critique lue 51 fois
Im Kwon-taek réalise avec un classicisme sidérant un film à la fois historique et social, celui d’une époque, celui de l’après guerre coréenne. Des relations troubles entre truanderie et politique,...
Par
le 13 déc. 2012
3 j'aime
4
A travers l'histoire de Choi Tae-woong, Im Kwon-taek retrace celle de son pays sur deux décennies en une centaine de minutes. La fresque envisagée est ambitieuse mais trop rapidement traitée...
le 21 avr. 2018
2 j'aime
Après le succès international de « Ivre de femmes et de peinture », on retrouve Im Kwon-Taek avec une oeuvre hélas inégale, sabotée par une production castratrice qui décida de remonter le film...
Par
le 3 juin 2015
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2
C'est dans une infime fraction de temps que tout se joue, c'est en dehors d'un espace-temps que se concrétise les rêves de deux inconnus.
le 4 juin 2025
3 j'aime
Lune "de sang" ou "cuivrée", susceptible de provoquer des humeurs chez certains, est ici verte comme un certain soleil, mais le résultat est le même.
le 9 oct. 2025
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Que dire de plus, qui n'a déjà été dit, sauf peut-être, que depuis la Science Fiction déborde de mes bibliothèques. Merci qui ?
le 26 juin 2025
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