La vendetta du pauvre

Le canevas de départ présageait du bon : Un gamin admire un indien solitaire proche de la famille. Quand cette même famille et exterminer par ce qu'il semblerait être des natives américain. Le rejeton, seul survivant, s'en va à sont tour retrouver l'indien qui le saluera avant de s'effondrer sous les feu du bambin.

Cet introduction qui sert à enclencher la trajectoire du personnage pose d'emblée une excitation malgré le côté cheap du film ( doublage français à vomir, pauvreté des prises de vues...). Malheureusement le pari n'est pas tenue. L'ennui viens même me dérangée, la faute à une paresse d'écriture et de mise en scène. L. Mann et mutique à l'ennui, le doc qui lui sert de sidekick n'apporte pas la parenthèse légère prévu, K. Kinski en acolyte du méchant nous fait surtout de la figuration et enfin I. Rassimov n'est pas assez beau pour nous faire oublier que sont personnage est mal écrit : Il engage le héros et lui donne des responsabilités importante, évidemment assez, pour s'en servir contre lui. Sur le seul fait d'armes d'avoir gagné un corps à corps avec un hommes de main. Tout ceci bien sûr de manière bâclée.