le 19 janv. 2024
Cannes-ibal Holocauste
La Zone d’intérêt débute par un écran noir de 5 minutes accompagné d'une musique assourdissante qui donne le dispositif du film : on ne verra rien mais on entendra tout. Le camp d'extermination...
Application SensCritique : Une semaine après sa sortie, on fait le point ici.
J'avais l'impression de regarder le chat quinquagénaire de ma grand-mère vomir vers la fin
Ah et l'écran noir du début a fait paniquer le staff du Pathé, c'était rigolo
Créée
le 4 févr. 2024
Modifiée
le 4 févr. 2024
Critique lue 11 fois
le 19 janv. 2024
La Zone d’intérêt débute par un écran noir de 5 minutes accompagné d'une musique assourdissante qui donne le dispositif du film : on ne verra rien mais on entendra tout. Le camp d'extermination...
le 2 févr. 2024
Reconnaissons à Jonathan Glazer cela ; ce mérite d'avoir su trouver un angle nouveau pour aborder un sujet maintes fois traité.Parce qu’à sortir en permanence du champ ce qui est pourtant – et...
le 31 janv. 2024
L'introduction, avec un écran noir qui dure, qui dure, accompagné d'une musique stridente, annonce bien la couleur, La Zone d'intérêt est une expérience aussi bien sonore que visuelle. Ben oui, parce...
le 3 févr. 2024
Les chefs machinos, c'est vraiment tous les mêmes, c'est abusé
le 3 févr. 2024
Tu vois comment Austin Butler arrive pas à se sortir de son perso d'Elvis? Bah Sam Rockwell c'est pareil avec Bob Fosse (je l'aime si fort)
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