Après 38 minutes de Last chance hotel, on se dit que ce film aurait pu être pas mal mais qu'il ne l'est malheureusement pas du tout. Cela dit, voilà une série Z très étonnante. C'est un peu comme si la créature de Frankenstein s'était réincarnée en scénario de film, dans lequel chaque scène serait issue d'un script différent, accouchant d'un Mashup géant sans queue ni tête.
Dommage qu'il manque la poésie d'un Ed Wood ou même la roublardise ingénieuse d'un Charles Band ou d'un Godfrey Ho pour lier le tout. Heureusement, il y a Gary Busey complétement saoul, ça compense.