Le corbeau (1935)
Le docteur Vollin a trouvé comment atteindre l'amour mais quel salaud.
Engager un tueur en série pour tuer la belle famille, c'est pas du tout beau.
Niveau torture il as de quoi faire en tant que fan d'Edgar Allan Poe.
Ce n'est pas le chat noir qui sera mis en avant aujourd'hui mais Le corbeau.
Bonjour a tous amis de l'angoisse, aujourd'hui attaquons nous a Le corbeau de Lew Landers a qui nous devons Californie en flammes, Le retour du vampire ou Les flèches de feu. Encore un film tiré de plus ou moins loin des écrits de Edgar Allan Poe avec en duo vedette Boris Karloff et Béla Lugosi, nous allons suivre le docteur Vollin qui après avoir sauver une jeune fille de la mort va tombez amoureux de cette dernière, malheureusement pour lui la belle famille n'est pas d'accord, il va donc se venger d'eux avec l'aide d'un criminel nommé Bateman et de son obsession pour les objets de tortures tirés de Edgar Poe. Niveau histoire, cela reste sympathique même si personnellement j'ai préféré Le chat noir, le film ne nous perd jamais et met en place une histoire de vengeance en somme assez classique mais plus original dans son exécution, d'ailleurs se sous sol avec ses équipements de tortures d'un autre âge contraste parfaitement avec la gaîté que représente les étages du bâtiment. Les acteurs sont bons que se soit notre duo vedette ainsi que les autres tel que notre couple de héros incarné par Irene Ware et Lester Matthews, les effets sont plutôt bien faits pour l'époque comme le maquillage de Boris Karloff ou quelques effets de tortures, j'ai beaucoup aimé la relation de nos 2 personnages principaux qui incarnent des monstres humains n'étant en aucun cas tout blanc, cependant le film vous montreras que l'on ne pas rester éternellement une ordure. Bref encore un petit film avec notre duo vedette de monstres sacrés de la Universal que je peut vous conseiller de voir, néanmoins je trouve Le chat noir plus sympathique a titre personnel, allez tchuss crevez tous mouhaha 😈😈😈.
Le Docteur Vollin, chirurgien de renom et admirateur d'Edgar Poe, collectionne les instruments de torture dans une cave secrète de sa résidence. Il s'éprend de la jolie Jean Thatcher, la femme qu'il a sauvée à la suite d'un accident. Repoussé par la famille de celle-ci, il défigure le criminel Edmond Bateman pour en faire l'instrument de sa vengeance.