Bonjour. Je vous invite à regarder cette image
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Quelle représentation excessive, n'est-ce pas !
Celle-ci maintenant
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Ce n'est pas fini
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Cette vidéo également, qui est le documentaire justifiant ma critique
https://www.youtube.com/watch?v=5QhTXnLG3AE
https://www.youtube.com/watch?v=toF8v8Cxd3E (version originale)
Maintenant vous ne pourrez plus dire que vous ne savez pas !
L'IVG est un avortement de confort, le terme est précis et objectif. Lorsqu'une femme a recours à une IVG, le demi-bébé mort qu'elle expulse sur le plancher, comme une vulgaire crotte qui la dérangerait dans ses gesticulations, elle pratique un meurtre de confort. Afin de garantir son irresponsabilité, d'entretenir sa ligne, de rester opérationnelle pour le sexe ou le travail, elle tue l'enfant qu'elle porte. Et elle appelle cela un droit ! Son droit de tuer un être innocent qui n'a pas son mot à dire et n'a pas choisi d'être là, dans son ventre.
Les parents ont-ils droit de vie ou de mort sur leurs enfants ? Si vous répondez oui, vous êtes de la pire espèce, mais au moins êtes-vous cohérent si vous soutenez par ailleurs l'avortement. Au moins, vous, vous assumez ! Vous ne recourrez pas aux pleurnicheries et aux maquillages pour cautionner les abus d'adultes préférant leur bien-être à l'intégrité voire à la vie d'une personne placée sous leur tutelle.
Je ne condamne pas ce qui a été fait dans le passé et nous pouvons tous comprendre que la généralisation de l'avortement ait pu sembler légitime. Je sais également que l'avortement peut être nécessaire ou inévitable, lorsque la vie de la mère est en danger ou celle du fœtus n'est plus. Je ne dis pas, donc, qu'il faut supprimer l'avortement. Je remet en question l'interruption volontaire de grossesse motivée par des raisons non-médicales.
Aujourd'hui, en France, dans le monde anglo-saxons, dans les pays de l'OCDE, nous avons de nombreux moyens pour nous protéger et éviter d'avoir recours à une IVG ! Nous pouvons même intervenir avant qu'un petit être se forme ; les puristes diront que c'est une forme de triche, je n'en suis pas. Je pense également que nous avons une grande latitude pour des pratiques alternatives, en nous compromettant le moins possible grâce aux progrès et à la démocratisation de l'hygiène.
Autrement dit nous n'avons aucune excuse, sauf exceptions comme le viol. Et si des 'accidents' peuvent se produire, il faut les accepter, car ce qui vient au bout de l'accident ce n'est pas une erreur, mais un enfant.
Bien sûr si vous n'avez aucun problème avec cette horreur, ou préférez ne pas en avoir, ou choisissez d'être mou ; vous allez chercher des raisons contre ce qui vous est rapporté ici. Vous allez critiquer le contenant et la personne qui vous l'apporte, vous le réduirez à des lubies et à des chapelles bien spécifiques. Si refuser le meurtre est pour vous une simple opinion ou une fantaisie obsolète, un délire de religieux, alors effectivement je suis atteinte par tout cela.
Il n'est plus question d'opinion et peu m'importe vos mœurs, peu importe même que le mariage et la notion de famille soient dévoyés. Au fond tout cela est réparable ou du moins, tue rarement. Mais l'IVG n'est pas de cette nature. Ce n'est ni un progrès ni une libération, ce n'est pas non plus une simple faute morale ; pourquoi pas une étourderie !? Ce n'est pas abattre la morale, retirer une chaîne, démolir une institution. C'est un crime à l'échelle personnelle et un génocide à l'échelle collective.
Continuez à vous protéger avec la majorité. Si vous êtes un pleutre, une salope ou un assassin modéré, il y aura toujours du soutien. Mais ne comptez pas sur moi pour vous pardonner ou pleurer sur vos mésaventures si vous persistez dans l'erreur.
Moi aussi j'ai sombré dans cette abomination, indirectement mais en me jetant dedans. Étant jeune j'étais d'abord sceptique et dégoûtée par cette méthode, j'ai voulu convaincre des proches de ne pas y recourir et souvent j'ai obtenu gain de cause. Mais c'est qu'à l'époque je n'étais pas seule à refuser cette banalisation ! Et puis comme la plupart j'ai cédé, j'ai relativisé, je me suis noyée dans les considérations particulières et j'ai laissé-faire, encouragé, accompagné. J'ai été complice de meurtres. Je ne blâme pas forcément celles qui l'ont accompli, elles ont pu y être poussées, dû s'y résoudre pour des motifs insupportables ; je sais que j'aurais pu en être ! La culpabilité que nous ressentons est saine !
Mais le passé n'est pas l'essentiel et ce n'est pas lui qu'il faut corriger. Il faut arrêter de s'inventer des histoires, accepter ses fautes pour ne plus les reproduire, reconnaître qu'on a été dans le flou et en sortir pour de bon ! Nous avons le pouvoir de refuser la boucherie, c'est maintenant qu'il faut choisir.