Un bon western

Un bien curieux western signé par le souvent inégal Alan J. Pakula. Le film commence pourtant assez bien, avec un ton assez réaliste et sans concession de l'Ouest fermant la porte aux glorifications...

Tout d'abord, ce n'est pas un western, terme souvent galvaudé et désignant la conquête de l'Ouest (Le Robert) et plus précisément l'expropriation mercantile et malhonnête des terres indiennes...

Comes a Horseman se saisit de la maison paternelle, et donc familiale, comme une métaphore du monde ancien confronté à la modernité : soit la lutte acharnée d’une femme seule, interprétée par Jane...

Le film se situe en 1946 à Rome… mais en 2024, cette situation existe encore pour de nombreuses femmes. Je l’ai vécu… et je m’en suis libérée ! Le patriarcat n’est pas mort…

Je n’ai aucune objectivité car j’adore James Caan, le héros de Rollerball !

On ne peut pas revivre le passé mais grâce à Jean-Paul Rouve c’est possible… réparer, pardonner…