Après le succès de Trois souvenirs de ma jeunesse à la Quinzaine des réalisateurs en 2015, Arnaud Desplechin ouvrait cette année le festival de Cannes avec Les Fantômes d'Ismaël, un film malheureusement beaucoup moins convaincant. Généreux, le réalisateur l'est pourtant en tournant trois films en un, allant du pastiche de l'espionnage au drame bergmanien, mais ses segments, en plus d'être très inégaux, s'articulent mal entre eux (un défaut apparemment corrigé dans le director's cut, toutefois).
Par ici la critique, les ismaëlites : https://supermarieblog.com/2017/06/27/les-fantomes-dismael/