L'affiche annonce bien le film
Une (très) bonne première demi-heure, de bons gags bien sentis, puis un tiers (le passage au Maroc, en gros) poussif avec un questionnement existentiel qui, je pense, doit être la caution "émotion et métaphysique" imposée par la production et une fin attendue mais bien faite.
Soyons clairs, le film est tenu par Chabat (pour dire "je t'aime") et Boublil. Ils sont bons, on sent qu'ils se sont amusés, mais les autres acteurs et personnages sont en retrait et n'apportent pas grand chose au film.