Au début, Jake et Anne ne s'aiment pas. Alors ils niquent, ils baisent, ils s'envoient en l'air, ils jouent à la bête à deux dos, ils nous montrent leurs seins, ils nous montrent leurs culs, ils se la donnent, ils font des galipettes, ils forniquent comme des singes. Et se disent au revoir en se serrant la pogne une fois leur petite affaire terminée.
Puis Jake et Anne tombent amoureux. Et alors là, ils pleurent, ils se remettent en question, ils font des déclarations larmoyantes, ils ont des grandes phrases sur le sens de la vie, ils ont des maladies dégénératives, ils réfléchissent beaucoup, ils téléphonent à leur mère tout habillés dans une baignoire, ils font de l'introspection, ils trouvent que la maladie de parkinson, c'est nul. En résumé, ils s'emmerdent.
Et après ce genre de films, on veut nous faire croire que l'amour est une chose magnifique?
NB. Trois des étoiles de ma note sont attribuées au postérieur de Jake Gyllenhaal. L'étoile restante aux seins de Anne Hattaway.