Simone Signoret et la jungle
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Vague remake de « Spite mariage » (Le figurant, 1929) de Buster Keaton, « I Dood It » (Mademoiselle ma femme) est le deuxième film de Vincente Minnelli. Appelé au pied levé pour réaliser ce film qui se voulait à la gloire du couple de star et de Jimmy Dorsey et son orchestre, le jeune réalisateur ne parvient guère à sauver cette salade de fruit indigeste. Influencé sans doute par Keaton, Skelton offre un jeu fait de roulement et d’équarquillement des yeux, appuyé sur des mimiques d’un autre âge cinématographique, antérieur d’au moins dix ans. Mais surtout, la plupart du temps, les numéros semblent à la fois fortuits et bâclés Seule la séquence avec Lena Horne et Hazel Scott fait montre d’un certain talent. Eleanor Powell (à la chemise de nuit très suggestive) tente comme elle peut de sauver cette mayonnaise triée. Et pourtant le premier numéro avec les lassos (pourtant pas conçu par Minnelli) pouvait faire croire… Un moment d’égarement !
Créée
le 11 sept. 2020
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